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Les jardins de Paris
par fineasse Mer 12 Sep - 19:56
Aprés un long moment enfermée, la ballade fut un délice pour Fineasse. Elle profita de la chaleur du soleil, et arriva dans les jardins.
Rien n'avait changé ou presque. Il était toujours aussi bien entretenu, seul les fleurs avaient un peu changé avec la saison.
Tout en se baladant, elle se retrouva au bord de l'étang. Elle repensa à cette rencontre et à cette soirée passé avec se chevalier qui ne cessait de hanter ses pensées.
Elle se demanda où il était et si elle allait le revoir.Depuis tout ce temps, il était peut etre retourné chez lui.
Elle regarda l'eau sans la voir, perdu dans ses pensées.
Rien n'avait changé ou presque. Il était toujours aussi bien entretenu, seul les fleurs avaient un peu changé avec la saison.
Tout en se baladant, elle se retrouva au bord de l'étang. Elle repensa à cette rencontre et à cette soirée passé avec se chevalier qui ne cessait de hanter ses pensées.
Elle se demanda où il était et si elle allait le revoir.Depuis tout ce temps, il était peut etre retourné chez lui.
Elle regarda l'eau sans la voir, perdu dans ses pensées.
fineasse- Nombre de messages : 33
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Re: Les jardins de Paris
par pathard Mer 12 Sep - 21:49
Comme toute chose a une fin, elle aussi la mort noire était passé.
La peste après avoir rodée et parcourut le royaume était repartie mais deux mois cela est long et cette douce perle qui aimait temps avait elle survécue a se fléau ?
Il le voulait de cette première rencontre il en gardait dans le cœur les traces encore fraîches de ce que l’on pouvait dire être un amour naissant.
Mais ou ? Allait il la retrouver ?
L’idée fut simple et facile, le jardin ce lieu magique et plein de charme, l’endroit de leur début.
C’est donc la que ces pas le ramenèrent, vers cette endroit, et la aussi qu’il voulait la voir ; si son cœur a chaque pas faisait prés t’elle un boum, la c’est un autre son qu’il émettait, celui de la peur de ne trouver personne ou peut être pas celle qu’il voulait.
Il était bon de sentir sur la peau la brise légère et dans l’air autre chose que l’odeur âpre des bûchers, triste rappel des deux mois passé.
De cette déambulation entre les allées, de détour, il ne voyait rien.
Sa tête comme son cœur était braqués que sur la seule pensée de la voir et l’envie de la contempler ; rien ici ne comptait plus, que cela.
Après bien des incertitudes sur le chemin a suivre, il senti au détour d’une allée l’odeur de l’eau, le lac et l’espoir !
La !
Juste devant lui a quelque pas……..
Pas de doute il en jurerait, c’était elle !et comme la premier fois elle regardait l’eau perdu dans les plis mélancoliques de son esprit.
Il approcha doucement et comme si cela devait le rassurer posa ses mains sur ses épaules lui chuchotant à l’oreille.
Il sera dit ma dame que de vous voir est et restera un plaisir que je ne veux partager avec aucun homme.
Je suis ravie de vous revoir et de vous, voir aussi vivante que cela ma dame .toujours aussi belle et désirable, plus encore je dois bien le dire la peur sans doute de ne plus vous revoir .
La raison est loin ici et avec ses paroles le geste fut doux sans aucune arrière pensée, mais comme pour se rassurer il déposa un baisé dans son cou ,ne la lâchan pas.....
Perle parmi les fleurs
La peste après avoir rodée et parcourut le royaume était repartie mais deux mois cela est long et cette douce perle qui aimait temps avait elle survécue a se fléau ?
Il le voulait de cette première rencontre il en gardait dans le cœur les traces encore fraîches de ce que l’on pouvait dire être un amour naissant.
Mais ou ? Allait il la retrouver ?
L’idée fut simple et facile, le jardin ce lieu magique et plein de charme, l’endroit de leur début.
C’est donc la que ces pas le ramenèrent, vers cette endroit, et la aussi qu’il voulait la voir ; si son cœur a chaque pas faisait prés t’elle un boum, la c’est un autre son qu’il émettait, celui de la peur de ne trouver personne ou peut être pas celle qu’il voulait.
Il était bon de sentir sur la peau la brise légère et dans l’air autre chose que l’odeur âpre des bûchers, triste rappel des deux mois passé.
De cette déambulation entre les allées, de détour, il ne voyait rien.
Sa tête comme son cœur était braqués que sur la seule pensée de la voir et l’envie de la contempler ; rien ici ne comptait plus, que cela.
Après bien des incertitudes sur le chemin a suivre, il senti au détour d’une allée l’odeur de l’eau, le lac et l’espoir !
La !
Juste devant lui a quelque pas……..
Pas de doute il en jurerait, c’était elle !et comme la premier fois elle regardait l’eau perdu dans les plis mélancoliques de son esprit.
Il approcha doucement et comme si cela devait le rassurer posa ses mains sur ses épaules lui chuchotant à l’oreille.
Il sera dit ma dame que de vous voir est et restera un plaisir que je ne veux partager avec aucun homme.
Je suis ravie de vous revoir et de vous, voir aussi vivante que cela ma dame .toujours aussi belle et désirable, plus encore je dois bien le dire la peur sans doute de ne plus vous revoir .
La raison est loin ici et avec ses paroles le geste fut doux sans aucune arrière pensée, mais comme pour se rassurer il déposa un baisé dans son cou ,ne la lâchan pas.....
Perle parmi les fleurs
pathard-
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Re: Les jardins de Paris
par fineasse Mer 12 Sep - 22:42
Elle n'avait rien entendu, pas même le bruit de ses pas. Quand les mains se posèrent sur ses épaules, elle tressaillie et allait crier, quand elle entendit sa voix. Elle avait tellement espéré qu'elle se demanda une seconde si elle rêvait pas, elle ferma les yeux et sentant toujours le contact de ses mains sur elle, les rouvrit, respira doucement et se retourna.
Oui c'était bien lui, malgré le temps passé il ne l'avait pas oublié, il était revenu à l'endroit de leur première rencontre comme elle.
Elle regarda ses yeux, elle y lu de la douceur, et tellement de tendresse.
je suis ravie de vous revoir chevalier, et heureuse de vous savoir en bonne santé.
Les mots lui manquaient, elle aurait voulu lui dire comme il lui avait manqué, mais elle préféra ne rien dire pour le moment. Elle voulait juste profiter de se moment, et ne plus penser à tout ce qui s'était passé pendant tout se temps.
Oui c'était bien lui, malgré le temps passé il ne l'avait pas oublié, il était revenu à l'endroit de leur première rencontre comme elle.
Elle regarda ses yeux, elle y lu de la douceur, et tellement de tendresse.
je suis ravie de vous revoir chevalier, et heureuse de vous savoir en bonne santé.
Les mots lui manquaient, elle aurait voulu lui dire comme il lui avait manqué, mais elle préféra ne rien dire pour le moment. Elle voulait juste profiter de se moment, et ne plus penser à tout ce qui s'était passé pendant tout se temps.
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fineasse- Nombre de messages : 33
Localisation InGame : Là où son coeur la guide
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Re: Les jardins de Paris
par pathard Mer 12 Sep - 22:48
Il la regarda avec toute son attention
De bleu vêtis, comme la couleur des océans qu’elle portait avec toute la grâce d’une reine ,
N’était elle pas la avec toute sa beauté la femme ou plutôt,
La damoiseau qui le retournait a l’intérieure ?
Le royaume avait traversé une sombre période, des amis des connaissais étaient tombés, mais elle était sortie sans aucun ennuis de cette sombre époque et la juste devant lui ses yeux le regardaient entrant en lui plus sûrement q'une lame la mieux trempée ,
C’était elle le centre de son univers plus de doute le bruit de son coeur tel une forge ne laissait pas de place au doute oui que dire de plus ,si ce n'est que de l'envie de la revoir était né ,plus qu'un simple sentiment mais une rage sourde ,celle qui fait perdre la tête aux hommes celui que les poètes appellent avec des mots et verbes chantés l'amour .
Il la regarda inclinât comme un son habitude la tête de coté mais ne lâchant pas ses yeux ,
Il pris la parole et lui répondit :
Ma dame, c’est un bien grand plaisir de vous voir aussi pleine de vie et oui je suis bien portant je vous en remercie, mais je vois que vous n'avez rien perdu de votre charme il est vrai ma dame que j'ose vous le dire, vous etes plus qu'un soleil, et puisque la joie ou le soulagement de vous revoir donne des ailes a mes mots , je vous dirais que vous etes mon soleil ,
Je n'ais de mots la qui puissent exprimer ce que je ressens, mais de vous voir la vivante me donne encore plus l'envie de rester prés de vous …………
Aise un compliment de vous dire que vous etes, la lumière qui éclaire mon sombre chemin ?
Je le crois ma dame et puisque ,j'ose ,le vous me tue alors ma dame je vous le demande et le dit pour la dernière fois plus de vous ,mais entre nous le tu ,des gens qui aiment être ensemble? Il lui sourit s’inclinant devant elle,
Perle parmi les fleurs
De bleu vêtis, comme la couleur des océans qu’elle portait avec toute la grâce d’une reine ,
N’était elle pas la avec toute sa beauté la femme ou plutôt,
La damoiseau qui le retournait a l’intérieure ?
Le royaume avait traversé une sombre période, des amis des connaissais étaient tombés, mais elle était sortie sans aucun ennuis de cette sombre époque et la juste devant lui ses yeux le regardaient entrant en lui plus sûrement q'une lame la mieux trempée ,
C’était elle le centre de son univers plus de doute le bruit de son coeur tel une forge ne laissait pas de place au doute oui que dire de plus ,si ce n'est que de l'envie de la revoir était né ,plus qu'un simple sentiment mais une rage sourde ,celle qui fait perdre la tête aux hommes celui que les poètes appellent avec des mots et verbes chantés l'amour .
Il la regarda inclinât comme un son habitude la tête de coté mais ne lâchant pas ses yeux ,
Il pris la parole et lui répondit :
Ma dame, c’est un bien grand plaisir de vous voir aussi pleine de vie et oui je suis bien portant je vous en remercie, mais je vois que vous n'avez rien perdu de votre charme il est vrai ma dame que j'ose vous le dire, vous etes plus qu'un soleil, et puisque la joie ou le soulagement de vous revoir donne des ailes a mes mots , je vous dirais que vous etes mon soleil ,
Je n'ais de mots la qui puissent exprimer ce que je ressens, mais de vous voir la vivante me donne encore plus l'envie de rester prés de vous …………
Aise un compliment de vous dire que vous etes, la lumière qui éclaire mon sombre chemin ?
Je le crois ma dame et puisque ,j'ose ,le vous me tue alors ma dame je vous le demande et le dit pour la dernière fois plus de vous ,mais entre nous le tu ,des gens qui aiment être ensemble? Il lui sourit s’inclinant devant elle,
Perle parmi les fleurs
pathard- Nombre de messages : 38
Age : 56
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Re: Les jardins de Paris
par fineasse Mer 12 Sep - 22:56
Sans lâcher son regarde, elle lui sourit. Elle comprenait ce qu'il ressentait, elle avait eu peur pour lui et pour sa vie et le voir devant elle lui était un soulagement.
Elle fut d'abord étonné par sa demande, mais ne trouva aucune objection. Aprés tout qu'y avait il de mal à oublier le vouvoiement aucun.
Si tel est votre, je veux dire ton désir, alors je n'y vois rien à y redire.
Elle ne lâchait pas son regard, peut être la peur de le voir disparaitre de nouveau ou de se rassurer elle même.Si il savait combien elle avait espéré le moment où elle le reverrait enfin, combien elle avait eu peur de ne jamais le revoir. Mais elle ne voulait et ne pouvait le lui dire. Elle ne voulais plus penser à ses moments. Elle détourna le regard de peur qu'il ne découvre ses pensées.Elle sortit enfin de son mutisme
Tes compliments me touchent et je t'en remercie... Si j'osais je te dirais que le simple fait de te voir, me réchauffe le cœur.
Elle aurait voulu lui dire tant de chose, mais ne trouvait ses mots. Pourquoi dire tout simplement à la personne qui fait battre son cœur, combien il lui avait manqué, qu'elle ne voudrait être nulle part ailleurs que dans ses bras lui était si difficile. Elle regarda l'eau les yeux perdu dans le vague.
fineasse- Nombre de messages : 33
Localisation InGame : Là où son coeur la guide
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Re: Les jardins de Paris
par pathard Mer 12 Sep - 23:02
Au portail du plaisir les portent restent close et on bien du mal a s’ouvrir ; car il faut pour cela laisser les convenances, et libre enfin de tout poids, pousser d’un grand coup les vantaux.
Entrer ,le cœur libre ; et chargé des sentiments refouler ,une fois que l’on a fait cette acte simple ,qui consiste a déclarer sans aucun détour ,sans aucune peur l’amour que l’on porte,a une femme , et l’envie simple mais féroce d’être avec elle .
Facile de l’écrire et même de le murmurer, mais il faut pour l‘avouer bien du courage, car la peur du revers et souvent plus forte que le désir de l’avouer.
Le vous était donc tombé et le tu en roy des mots était avec eux, la porte si lourde fut elle commençait a s’ouvrir….
Un chevalier a l’âme pur et grand cœur, aux convenances il garda donc une certaine forme, mais juste en société ,la dans les jardins et dans cette endroit personne pour freiner le galop de son cœur .
Les mots de la belle lui réchauffait plus que son tout, mais son trouble comme un signale lui rappelait qu’il fallait soit aller vite et lui montrer de suite ou attendre de comprendre.
Il choisie ce que son cœur lui dictait.
Il s’approcha encore plus d’elle et avec toute la douceur qu’il avait, lui détourna la tête.
Doucement elle pivota et une fois qu’il revit ses yeux ; avant que les forces ne le quitte il déposa sur sa bouche un baisé.
Il lui chuchota :
Je sais cela ne devais et ne doit pas être, mais la tu a vu mon cœur aussi grand ouvert que je le puisse le faire.
Tu sais donc maintenant.
N’ais pas peur je garderais en société la convenance et les distances …………..
Mais je ne sais pas si je pourrais le faire …………
Si cela te plaît, bien sur de nous revoir, le faire quant, nous serons seule.
Je ne promets rien et ne le peux la, l’envie est trop forte de pouvoir de serrer dans mes bras ......
Entrer ,le cœur libre ; et chargé des sentiments refouler ,une fois que l’on a fait cette acte simple ,qui consiste a déclarer sans aucun détour ,sans aucune peur l’amour que l’on porte,a une femme , et l’envie simple mais féroce d’être avec elle .
Facile de l’écrire et même de le murmurer, mais il faut pour l‘avouer bien du courage, car la peur du revers et souvent plus forte que le désir de l’avouer.
Le vous était donc tombé et le tu en roy des mots était avec eux, la porte si lourde fut elle commençait a s’ouvrir….
Un chevalier a l’âme pur et grand cœur, aux convenances il garda donc une certaine forme, mais juste en société ,la dans les jardins et dans cette endroit personne pour freiner le galop de son cœur .
Les mots de la belle lui réchauffait plus que son tout, mais son trouble comme un signale lui rappelait qu’il fallait soit aller vite et lui montrer de suite ou attendre de comprendre.
Il choisie ce que son cœur lui dictait.
Il s’approcha encore plus d’elle et avec toute la douceur qu’il avait, lui détourna la tête.
Doucement elle pivota et une fois qu’il revit ses yeux ; avant que les forces ne le quitte il déposa sur sa bouche un baisé.
Il lui chuchota :
Je sais cela ne devais et ne doit pas être, mais la tu a vu mon cœur aussi grand ouvert que je le puisse le faire.
Tu sais donc maintenant.
N’ais pas peur je garderais en société la convenance et les distances …………..
Mais je ne sais pas si je pourrais le faire …………
Si cela te plaît, bien sur de nous revoir, le faire quant, nous serons seule.
Je ne promets rien et ne le peux la, l’envie est trop forte de pouvoir de serrer dans mes bras ......
pathard- Nombre de messages : 38
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Re: Les jardins de Paris
par fineasse Mer 12 Sep - 23:10
Quand il lui tourna doucement le visage, elle se laissa faire sans résister. Son regard plongé dans le sien, la rassurait et son baisé la troubla un peu.
Etrange chose que deux inconnus puissent tenir autant l'un à l'autre, alors qu'ils ne se sont rencontré que très peu de fois. Pourtant elle savait que c'était lui, comment, pourquoi, elle n'aurait pu répondre...
Elle rompit enfin le silence:
Je ne te demande ni serment, ni promesse, je ne souhaite et ne veut qu'être avec toi en ce moment.
Elle se tut de nouveau, ne sachant si elle devait se taire ou continuer. Elle avait vu son cœur au font de ses yeux, elle savait ce qu'il ressentait, mais pouvait elle prendre la liberté de faire de même, sans aller trop loin. Pourtant il fallait qu'elle lui dise, qu'elle suive ce que lui dictait son cœur. Elle baissa un peu la tête et lui dit doucement:
Pour te revoir, il faudrait que je te quitte encore une fois et je n'en ai pas le courage. Alors ne me laisse pas repartir, pas tout de suite, garde moi prêt de toi...
Elle s'arrêta, peut être avait elle était trop loin. Les convenances exigeaient tant, mais elle n'en voulait plus pour le moment. Elle n'osait plus le regarder, de peur de voir comment il réagirait à ses mots. Elle attendit, la respiration courte...
Etrange chose que deux inconnus puissent tenir autant l'un à l'autre, alors qu'ils ne se sont rencontré que très peu de fois. Pourtant elle savait que c'était lui, comment, pourquoi, elle n'aurait pu répondre...
Elle rompit enfin le silence:
Je ne te demande ni serment, ni promesse, je ne souhaite et ne veut qu'être avec toi en ce moment.
Elle se tut de nouveau, ne sachant si elle devait se taire ou continuer. Elle avait vu son cœur au font de ses yeux, elle savait ce qu'il ressentait, mais pouvait elle prendre la liberté de faire de même, sans aller trop loin. Pourtant il fallait qu'elle lui dise, qu'elle suive ce que lui dictait son cœur. Elle baissa un peu la tête et lui dit doucement:
Pour te revoir, il faudrait que je te quitte encore une fois et je n'en ai pas le courage. Alors ne me laisse pas repartir, pas tout de suite, garde moi prêt de toi...
Elle s'arrêta, peut être avait elle était trop loin. Les convenances exigeaient tant, mais elle n'en voulait plus pour le moment. Elle n'osait plus le regarder, de peur de voir comment il réagirait à ses mots. Elle attendit, la respiration courte...
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fineasse- Nombre de messages : 33
Localisation InGame : Là où son coeur la guide
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Re: Les jardins de Paris
par pathard Jeu 13 Sep - 20:56
Il l’écouta noyé dans le bleu gris de ses yeux, perdu plus loin qu’il ne l’aurait voulu, a quoi bon vouloir garder sa raison, au plus profond de son corps la ou tout né, il entendait le bruit sourd de son cœur, tel l’ouragan il soufflait, grondant de tous ses sens, le poussant toujours plus prés encore et encore.
Il ne l’écoutait pas,mais buvant ses mots comme a la source la plus fraîche ne gardant que ce qu’il aimait faire repartir et faire rebondir sur le tambour de ses sentiments pour encore les entendre .
Elle baissa la tête et d’une phrase prononcée, elle lui donna d’un coup l’élan de revenir sur terre.
« Pour te revoir, il faudrait que je te quitte encore une fois ……………. »
Pourquoi cela ?
il ne comprenait pas ,il venait juste de la retrouver ?
Bien sur qu’il voulait la garder, mais il devait avant comprendre, les faits.
Il lui releva la tête fixant ses yeux et lui sourit, puit d’une voix qu’il voulut la plus douce il lui répondit :
Sache en premier que tu ne dois jamais me parler la tête baisée tu es et restera en privé comme ici mon égal, je ne veux point être des ces hommes qui domine, je souhaite l’équilibre et l’harmonie et si cela devait de faire rougir sache que tu n’en serais que plus belle.
Maintenant tu dois me dire pourquoi tu dois me quitter pour me revoir, je ne veux t’embarrasser, mais je voudrais que tu me dise ce qui est et devrait être.
Je sais que je suis vif, mais je ne me referais point, sache juste que je sais être aussi attentif et sais attendre ………
Il reprit son souffle
Si tu a besoin de temps tu la, je ne veux être une gène pour toi ,je sais que tu vie au palais et oui je suis un chevalier errant sans attache ……..
Pour le moment, oui pour le moment …..
Il lui sourit encore sa bouche voulait son âme aussi, sa tête elle fit un pas et puis deux ……… il l’embrassa doucement.
Tu ne me demande ni serment, ni promesse, je te demande la même chose être avec toi me va, je laisse le temps me guider et m’apporter ceux qu’il voudra .
Dit moi juste ce qu’il faut faire pour que nos routes reste cote a cote pour voir si nos pas s’accordent sans fausses notes ?
Il ne lâcha plus son regard attendant une réponse …………
Il ne l’écoutait pas,mais buvant ses mots comme a la source la plus fraîche ne gardant que ce qu’il aimait faire repartir et faire rebondir sur le tambour de ses sentiments pour encore les entendre .
Elle baissa la tête et d’une phrase prononcée, elle lui donna d’un coup l’élan de revenir sur terre.
« Pour te revoir, il faudrait que je te quitte encore une fois ……………. »
Pourquoi cela ?
il ne comprenait pas ,il venait juste de la retrouver ?
Bien sur qu’il voulait la garder, mais il devait avant comprendre, les faits.
Il lui releva la tête fixant ses yeux et lui sourit, puit d’une voix qu’il voulut la plus douce il lui répondit :
Sache en premier que tu ne dois jamais me parler la tête baisée tu es et restera en privé comme ici mon égal, je ne veux point être des ces hommes qui domine, je souhaite l’équilibre et l’harmonie et si cela devait de faire rougir sache que tu n’en serais que plus belle.
Maintenant tu dois me dire pourquoi tu dois me quitter pour me revoir, je ne veux t’embarrasser, mais je voudrais que tu me dise ce qui est et devrait être.
Je sais que je suis vif, mais je ne me referais point, sache juste que je sais être aussi attentif et sais attendre ………
Il reprit son souffle
Si tu a besoin de temps tu la, je ne veux être une gène pour toi ,je sais que tu vie au palais et oui je suis un chevalier errant sans attache ……..
Pour le moment, oui pour le moment …..
Il lui sourit encore sa bouche voulait son âme aussi, sa tête elle fit un pas et puis deux ……… il l’embrassa doucement.
Tu ne me demande ni serment, ni promesse, je te demande la même chose être avec toi me va, je laisse le temps me guider et m’apporter ceux qu’il voudra .
Dit moi juste ce qu’il faut faire pour que nos routes reste cote a cote pour voir si nos pas s’accordent sans fausses notes ?
Il ne lâcha plus son regard attendant une réponse …………
pathard- Nombre de messages : 38
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Re: Les jardins de Paris
par fineasse Jeu 13 Sep - 22:03
Elle l'écouta sans mot dire, le regardant fixement, sans essayer de détourner le regard. Elle ne savait comment lui expliquer ce qu'elle ressentait à cet instant précis. Mais il attendait une réponse et son baiser lui donna plus de courage pour répondre.
Je n'ai pas besoin de plus de temps et tu n'es pas une gène pour moi. Je n'ai pas envie de te quitter, à cette seule idée j'ai comme un coup dans le cœur. Mais je sais que je vais devoir retourner au palais pour avoir des nouvelles de mon frère. Je n'en ai plus depuis le début de l'épidémie. Et cela veut dire te quitter une fois de plus et attendre je ne sais combien de temps avant de te revoir. Je ne suis pas sur de pouvoir le supporter...
Elle ne voulait pas quitter son regard, un voile se déposa devant ses yeux, elle ne voulait pas qu'il voit ses larmes. Elle détourna le tête, même si ne voulait pas, elle ne pouvait le laisser regarder ses yeux.
Elle se détourna et regarda l'eau qui était presque statique. Le soleil baissait doucement et se refléter dans celle ci.
Elle reprit doucement
Je ne sais ce qui me fait le plus peur, avoir de mauvaises nouvelles, ou devoir encore une fois te quitter.
Je ne sais pas si j'aurais le courage de supporter d'être encore une fois loin de toi...
Elle continua de regarda l'étang évitant son regard, et laissant ses larmes couler doucement le long de son visage. Elle ne voulait pas qu'il les voit et lui tourna le dos, pour l'empêcher de voir son visage.
Je n'ai pas besoin de plus de temps et tu n'es pas une gène pour moi. Je n'ai pas envie de te quitter, à cette seule idée j'ai comme un coup dans le cœur. Mais je sais que je vais devoir retourner au palais pour avoir des nouvelles de mon frère. Je n'en ai plus depuis le début de l'épidémie. Et cela veut dire te quitter une fois de plus et attendre je ne sais combien de temps avant de te revoir. Je ne suis pas sur de pouvoir le supporter...
Elle ne voulait pas quitter son regard, un voile se déposa devant ses yeux, elle ne voulait pas qu'il voit ses larmes. Elle détourna le tête, même si ne voulait pas, elle ne pouvait le laisser regarder ses yeux.
Elle se détourna et regarda l'eau qui était presque statique. Le soleil baissait doucement et se refléter dans celle ci.
Elle reprit doucement
Je ne sais ce qui me fait le plus peur, avoir de mauvaises nouvelles, ou devoir encore une fois te quitter.
Je ne sais pas si j'aurais le courage de supporter d'être encore une fois loin de toi...
Elle continua de regarda l'étang évitant son regard, et laissant ses larmes couler doucement le long de son visage. Elle ne voulait pas qu'il les voit et lui tourna le dos, pour l'empêcher de voir son visage.
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fineasse- Nombre de messages : 33
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Re: Les jardins de Paris
par pathard Jeu 13 Sep - 22:49
La pluie du corps vous dit souvent que vous ne savez plus ou pas comment rendre ce que vous aimé heureux.
Il les voyait tomber une a une ses larmes et ses paroles ,il le savait devaient être comme la lame de l’épée pour elle ;elle coupe nette entre loin et une fois arrivé tourne d’un quart ,juste pour que cela fasse encore plus mal .
Il ne voulut plus longtemps la voir pleurer n’y même souffrir, il fallait donc agir et la rassurer.
Il lui chuchota donc ce qu’il pensait être le mieux pour eux tout :
Alors écoute moi ,j’ai peut être pour nous une solution qui pourrait nous donner a tous deux ,bien des raisons de voir la vie des plus belles des couleurs .
Puisque tu dois aller pour savoir si ton frère a échappé a la mort noire aller au palais…. j’irais avec toi ;je sais que beaucoup sont morts et que le roy aura besoin d’homme je me mets donc a son service et pourrais de ce faite être et surtout rester prés de toi .
Protéger mon roy et par la même toi quelle plus belle avenir puis je rêver ?
pas mieux il me semble bien .
Alors ma douce je mets mon honneur et mon arme au service du roy et mon cœur je te le donne sans aucune retenue, je ne veux te perdre deux mois fut pour moi un voyage au pays des ombres sans nom je ne veux revivre cela ………
Alors qui pense tu de cela ?
Il croisa ses bras autour d’elle et déposa sa tête contre son épaule regardant lui aussi l’eau et le soleil qui se couchait dedans.
Il les voyait tomber une a une ses larmes et ses paroles ,il le savait devaient être comme la lame de l’épée pour elle ;elle coupe nette entre loin et une fois arrivé tourne d’un quart ,juste pour que cela fasse encore plus mal .
Il ne voulut plus longtemps la voir pleurer n’y même souffrir, il fallait donc agir et la rassurer.
Il lui chuchota donc ce qu’il pensait être le mieux pour eux tout :
Alors écoute moi ,j’ai peut être pour nous une solution qui pourrait nous donner a tous deux ,bien des raisons de voir la vie des plus belles des couleurs .
Puisque tu dois aller pour savoir si ton frère a échappé a la mort noire aller au palais…. j’irais avec toi ;je sais que beaucoup sont morts et que le roy aura besoin d’homme je me mets donc a son service et pourrais de ce faite être et surtout rester prés de toi .
Protéger mon roy et par la même toi quelle plus belle avenir puis je rêver ?
pas mieux il me semble bien .
Alors ma douce je mets mon honneur et mon arme au service du roy et mon cœur je te le donne sans aucune retenue, je ne veux te perdre deux mois fut pour moi un voyage au pays des ombres sans nom je ne veux revivre cela ………
Alors qui pense tu de cela ?
Il croisa ses bras autour d’elle et déposa sa tête contre son épaule regardant lui aussi l’eau et le soleil qui se couchait dedans.
pathard- Nombre de messages : 38
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Re: Les jardins de Paris
par fineasse Ven 14 Sep - 17:19
Elle l'écouta sans dire un mot. Il allait venir avec elle et ne pas la quitter. Si elle avait bien entendu, par cet acte, il serait à ses cotés, quoi qu'il arrive. Elle respira lentement, calmant ses pleures. Là dans ses bras, elle savait qu'elle n'aurait trouvé meilleur place. Elle se sentait bien et ne souhaitait pas en bouger. Le soleil descendait doucement et la nuit comme un voile commencer à s'installer. Elle rompit enfin le silence et doucement dit:
Ce que j'en pense, c'est que par cette acte tu fais de moi la femme la plus heureuse du monde. Je ne sais pas si j'aurai eu le courage d'affronter seule cette épreuve. Mais en te sachant à mes cotés, j'aurais la force de le faire...
Elle se retourna doucement et le regarda dans les yeux. Son cœur battait très vite et si fort, qu'elle cru qu'il allait l'entendre. Elle ne pouvait plus imaginer de vivre loin de lui et par ses paroles et ses gestes, il lui avait prouvé qu'il ressentait la même chose qu'elle. Malgré son envie de l'embrasser, elle ne fit rien. Elle lui sourit simplement et repris.
Je ne sais s'il est trop tôt pour le dire, mais il y a une chose que je veux que tu saches. Je n'ai pas l'art et la manière, ni meme la façon...
Elle s'arrêta un instant, ne quittant pas son regard
Je suis ...
Elle laissa sa phrase en suspend...
Ce que j'en pense, c'est que par cette acte tu fais de moi la femme la plus heureuse du monde. Je ne sais pas si j'aurai eu le courage d'affronter seule cette épreuve. Mais en te sachant à mes cotés, j'aurais la force de le faire...
Elle se retourna doucement et le regarda dans les yeux. Son cœur battait très vite et si fort, qu'elle cru qu'il allait l'entendre. Elle ne pouvait plus imaginer de vivre loin de lui et par ses paroles et ses gestes, il lui avait prouvé qu'il ressentait la même chose qu'elle. Malgré son envie de l'embrasser, elle ne fit rien. Elle lui sourit simplement et repris.
Je ne sais s'il est trop tôt pour le dire, mais il y a une chose que je veux que tu saches. Je n'ai pas l'art et la manière, ni meme la façon...
Elle s'arrêta un instant, ne quittant pas son regard
Je suis ...
Elle laissa sa phrase en suspend...
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Re: Les jardins de Paris
par pathard Ven 14 Sep - 21:09
Bien que la saison fût bien avançait dame nature par sa bonté donnait encore de belle journée.
A croire qu’elle voulait effacer ces deux mois d’horreur ou seule le vole noir des corbeaux était le seule signe d’une nature vivante, et ou l’odeur des bûchers rappelaient aux vivants qu’ils l’étaient encore.
Son idée était donc la bonne ?
Il en doutait, n’était il pas un inconnu ? Et les rencontres faites avant …. ?
Sur elles, n’étaient pas une garantie !
Qui pouvait dire si lui ne cherchait et ne voulait que simplement séduire, une jeune et belle qui a du plus ses entrées au palais ?
Hélas pour ceux qui aiment les méchants sans aucune âme et qui on comme seule honneur que celui de vivre pour eux.
Ce n’est et ne serait jamais cet homme la.
Il l’aimait !
Faut il passer beaucoup de temps avec une femme pour savoir ses sentiments et savoir que c’est elle et non une autre ?
Pour lui encore une fois la réponse a cette question est un non, bien gros et fortement exprimé.
La dame de son cœur puisqu’il ne pouvait en être autrement, parla et lui comme a son habitude buvait ses paroles.
Il la regarda et la que voulait elle dire ?
« ……….. Je suis ................... »
Comme la braise se reflète dans les yeux d’un chat dormant prés de l’âtre il la fixa ne quittant point ces deux océans.
il lui soupira plus qu’il ne lui dit :
Et tu es ?.............
Dans sa poitrine les chevaux de la peur lançaient leur course doucement ,mais ils étaient la………….
Perle parmi les fleurs
A croire qu’elle voulait effacer ces deux mois d’horreur ou seule le vole noir des corbeaux était le seule signe d’une nature vivante, et ou l’odeur des bûchers rappelaient aux vivants qu’ils l’étaient encore.
Son idée était donc la bonne ?
Il en doutait, n’était il pas un inconnu ? Et les rencontres faites avant …. ?
Sur elles, n’étaient pas une garantie !
Qui pouvait dire si lui ne cherchait et ne voulait que simplement séduire, une jeune et belle qui a du plus ses entrées au palais ?
Hélas pour ceux qui aiment les méchants sans aucune âme et qui on comme seule honneur que celui de vivre pour eux.
Ce n’est et ne serait jamais cet homme la.
Il l’aimait !
Faut il passer beaucoup de temps avec une femme pour savoir ses sentiments et savoir que c’est elle et non une autre ?
Pour lui encore une fois la réponse a cette question est un non, bien gros et fortement exprimé.
La dame de son cœur puisqu’il ne pouvait en être autrement, parla et lui comme a son habitude buvait ses paroles.
Il la regarda et la que voulait elle dire ?
« ……….. Je suis ................... »
Comme la braise se reflète dans les yeux d’un chat dormant prés de l’âtre il la fixa ne quittant point ces deux océans.
il lui soupira plus qu’il ne lui dit :
Et tu es ?.............
Dans sa poitrine les chevaux de la peur lançaient leur course doucement ,mais ils étaient la………….
Perle parmi les fleurs
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Re: Les jardins de Paris
par fineasse Sam 15 Sep - 0:46
Leurs regards ne se lâchaient plus, plus rien d'autre n'existait autour. Il voulait savoir, mais comment lui dire....
Tout son être lui soufflait la réponse, juste à suivre les battements de son cœur. Elle respira profondément et décida de répondre à son interrogation " Et tu es?...... ". Elle rougit légèrement et se lança:
Je ne sais si cela se dit, mais je veux que tu le saches, je suis amoureuse de toi depuis notre première rencontre.
Peut être est-ce de la folie, ou ce que l'on appelle le coup de foudre, mais c'est ainsi....
Elle le regarda, il ne bougea pas continuant de la fixer. Elle espérait qu'il ne la repousse pas et que par ses mots elle ne le fasse pas fuir. Il n'avait jamais exprimer autrement que par des gestes ses sentiments et en lui exprimant les siens, elle avait changer à sa manière le cour des choses.
Peut être était ce trop rapide, mais si elle ne le faisait pas maintenant, elle ne sais pas si elle en aurait eu le courage à un autre moment...
Elle repris presque en chuchotant:
Si mes mots te gènes ou te choques j'en suis désolée. Mais je ne veux cacher plus longtemps ce que je ressens pour toi. Je sais qu'il n'est pas convenable pour une femme de prononcer ses mots sans savoir si la personne de ses pensées ressent la même chose, mais il me semble qu'entre nous elle ne sont pas vraiment de rigueur...
Elle se tut. Là elle ne savait plus trop si elle avait bien fait. Mais il était trop tard pour regretter et à bien y réfléchir, elle n'en avait aucun. Elle le regarda avec un mélange d'attente et d'interrogation...
Tout son être lui soufflait la réponse, juste à suivre les battements de son cœur. Elle respira profondément et décida de répondre à son interrogation " Et tu es?...... ". Elle rougit légèrement et se lança:
Je ne sais si cela se dit, mais je veux que tu le saches, je suis amoureuse de toi depuis notre première rencontre.
Peut être est-ce de la folie, ou ce que l'on appelle le coup de foudre, mais c'est ainsi....
Elle le regarda, il ne bougea pas continuant de la fixer. Elle espérait qu'il ne la repousse pas et que par ses mots elle ne le fasse pas fuir. Il n'avait jamais exprimer autrement que par des gestes ses sentiments et en lui exprimant les siens, elle avait changer à sa manière le cour des choses.
Peut être était ce trop rapide, mais si elle ne le faisait pas maintenant, elle ne sais pas si elle en aurait eu le courage à un autre moment...
Elle repris presque en chuchotant:
Si mes mots te gènes ou te choques j'en suis désolée. Mais je ne veux cacher plus longtemps ce que je ressens pour toi. Je sais qu'il n'est pas convenable pour une femme de prononcer ses mots sans savoir si la personne de ses pensées ressent la même chose, mais il me semble qu'entre nous elle ne sont pas vraiment de rigueur...
Elle se tut. Là elle ne savait plus trop si elle avait bien fait. Mais il était trop tard pour regretter et à bien y réfléchir, elle n'en avait aucun. Elle le regarda avec un mélange d'attente et d'interrogation...
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Re: Les jardins de Paris
par pathard Sam 15 Sep - 22:30
Si on pouvait voir en lui ,elle verrait les boums les boums de son cœur ,plus de doute plus de crainte ,ses mots lui donnait des ailes et plus aucune retenue ;a quoi bon de toute façon ,pourquoi retenir ce qui était la une évidence ?
La convenance ?
Il lui sourit la regardant droit et aussi loin qu’il le pouvait.
Ses yeux demandaient une réponse son cœur réclamait que l’on clame un peut le coups qu’il voyait.
Sa réponse fut plus dans le geste que le mot. Il l’avait déjà embrassé cette fois……………
Il passa ses bras autour de sa taille la tira contre lui et, ne déposa pas un baisé cela aurait été qu’un de plus, il voulait qu’elle sache, alors la fougue et l’envie dans se baisé furent la réponse qu’il lui donna.
Il resta longtemps contre elle, et sa bouche ne voulait la lâcher, le temps n’était plus de ce monde et si des gens passaient il n’en avait cure, une seule pensée traversait sa tête et elle venait du cœur, en vague régulière.
Il ne voulait qu’elle et l’embrassait avec plus de fougue et certainement sans convenance.
Il la regarda la souleva et enfin lui parla :
Il me semble bien que tes mots ne me choc pas, ce serait plutôt le contraire et si il gène ce n’est pas moi.
Et puis la entre nous il n’y aura pas et jamais n’y gène n’y convenance, il n’y aura que nous.
Il déposa encore une fois un baisé sur ses lèvres.
Il serait aussi temps d’aller voir si i y a des nouvelles de ton frère et je dois me présenter aussi …….…
La convenance ?
Il lui sourit la regardant droit et aussi loin qu’il le pouvait.
Ses yeux demandaient une réponse son cœur réclamait que l’on clame un peut le coups qu’il voyait.
Sa réponse fut plus dans le geste que le mot. Il l’avait déjà embrassé cette fois……………
Il passa ses bras autour de sa taille la tira contre lui et, ne déposa pas un baisé cela aurait été qu’un de plus, il voulait qu’elle sache, alors la fougue et l’envie dans se baisé furent la réponse qu’il lui donna.
Il resta longtemps contre elle, et sa bouche ne voulait la lâcher, le temps n’était plus de ce monde et si des gens passaient il n’en avait cure, une seule pensée traversait sa tête et elle venait du cœur, en vague régulière.
Il ne voulait qu’elle et l’embrassait avec plus de fougue et certainement sans convenance.
Il la regarda la souleva et enfin lui parla :
Il me semble bien que tes mots ne me choc pas, ce serait plutôt le contraire et si il gène ce n’est pas moi.
Et puis la entre nous il n’y aura pas et jamais n’y gène n’y convenance, il n’y aura que nous.
Il déposa encore une fois un baisé sur ses lèvres.
Il serait aussi temps d’aller voir si i y a des nouvelles de ton frère et je dois me présenter aussi …….…
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Re: Les jardins de Paris
par fineasse Dim 16 Sep - 5:43
Le baiser qu'il lui donna était un mélange de passion et de désir jusqu'à maintenant inavoué. Son cœur en était presque douloureux tellement il battait fort. Elle ne savait plus où elle était, et ne voulait y penser. Quand il s'écarta un peu et la souleva, elle repris sa respiration et essaya de retrouver ses esprits. Elle l'écouta sans mot dire et sans quitter son regard.
Ainsi il fallait repartir au palais pour enfin savoir...
Elle le regarda et lui sourit légèrement.
C'est vrai qu'il commence à se faire tard et que nous devrions y aller, mais une partie de moi refuse d'y aller...
Elle s'arrêta, et une vague de tristesse traversa ses yeux. Elle voulait savoir, mais en même temps appréhendait la réponse. Le simple fait d'imaginer qu'elle ne reverrait plus son frère lui était une douleur, qu'elle avait du mal à contrôler. Elle savait pourtant qu'elle devait y retourner et de le savoir prêt d'elle lui donnera plus de courage. Alors pourquoi repoussait elle ce moment?
Elle repris doucement
Laisse moi juste encore un peu de temps et nous irons au palais...
La nuit était tombée et le silence se faisait rassurant. Que n'aurait elle pas donner pour arrêter le temps et pouvoir rester ici avec lui,sans avoir à penser à ce qu'elle risquait d'apprendre...
Ainsi il fallait repartir au palais pour enfin savoir...
Elle le regarda et lui sourit légèrement.
C'est vrai qu'il commence à se faire tard et que nous devrions y aller, mais une partie de moi refuse d'y aller...
Elle s'arrêta, et une vague de tristesse traversa ses yeux. Elle voulait savoir, mais en même temps appréhendait la réponse. Le simple fait d'imaginer qu'elle ne reverrait plus son frère lui était une douleur, qu'elle avait du mal à contrôler. Elle savait pourtant qu'elle devait y retourner et de le savoir prêt d'elle lui donnera plus de courage. Alors pourquoi repoussait elle ce moment?
Elle repris doucement
Laisse moi juste encore un peu de temps et nous irons au palais...
La nuit était tombée et le silence se faisait rassurant. Que n'aurait elle pas donner pour arrêter le temps et pouvoir rester ici avec lui,sans avoir à penser à ce qu'elle risquait d'apprendre...
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Re: Les jardins de Paris
par pathard Dim 16 Sep - 10:41
Dame nuit encore une fois avait loupé son rendez vous.
Le sire soleil était parti, elle c’était donc levée avec toute sa grâce et alla comme lui se mirer dans l’eau du lac.
Il comprenait sa peur de connaître la vérité, bien dur son les nouvelles qui annonce la mort d’un proche.
Il lui fallait encore un peut de temps avant que ses pas ne retourne vers le palais ?
Soit, il en convenait.
Il ne savait pas si la traversée de la ville serait assez pour cela, de toute façon il fallait qu’ils partent, avec la nuit arrive les ombres qui ne sont pas recommandable pour une dame.
Il préférait la voir dans un autre lieu que de déambuler dans les rues et ruelle de la ville.
Bien sur il était la et elle ne risquait rien, mais sa place était au palais non point ici.
Il inclina la tête cherchant une fois encore la profondeur de ses yeux, puit une fois rivé sur eux il lui répondit :
Tu temps tu me dit ?
Et bien la traversée de la ville pour arriver jusqu'au palais t’en donnera………….
En s’approchant encore un peut
De plus je ne veux courir les rues de nuits, point la peur pour moi, mais j’ai avec moi un trésor et je ne veux le perdre ……….
Il serait temps que nous partions et trouvons un endroit pour cette nuit ………
Demain il fera jour la nous irons, tu le sais je dois aussi me présenter, en deux mois le royaume a perdu bien des gens notre roy aussi s’en est allé.
Un nouveau nous gouverne, mais lui reste il encore des
Hommes pour le servir ?
Le protéger ?
Ou sont passé la noblesse, les gardes, son armée, tous morts ?
Tu le sais, il nous faut des réponses, toi pour ton frère et moi pour savoir si je pourrais rester prés de toi.
Alors ma mie, il ne nous reste plus qu’a y aller je connais une taverne non loin de la, il y aura bien une chambre pour nous
Raclant sa gorge
Je voulais dire pour toi ......
Votre bras ma douce ,nous retournons vers les vivants la convenance ,le protocole ,bien lourd que cela tu ne trouve pas ?
Mais si il faut paraître la nuit a bien des avantages…..
Chuchotement :
Comme le fait de pouvoir passer mon bras autour de toi et mettre ma mains la …
Il passa son bras autour d’elle la colla a lui ; sa cape recouvrant le coté .
Sa main alla comme si cela était une habitude contre sa hanche .
De loin on ne voyait plus qu’un gentil homme accompagnant une gente dame ,le protocole donc …..
Il l’embrassa
En route donc ma mie……….
Le sire soleil était parti, elle c’était donc levée avec toute sa grâce et alla comme lui se mirer dans l’eau du lac.
Il comprenait sa peur de connaître la vérité, bien dur son les nouvelles qui annonce la mort d’un proche.
Il lui fallait encore un peut de temps avant que ses pas ne retourne vers le palais ?
Soit, il en convenait.
Il ne savait pas si la traversée de la ville serait assez pour cela, de toute façon il fallait qu’ils partent, avec la nuit arrive les ombres qui ne sont pas recommandable pour une dame.
Il préférait la voir dans un autre lieu que de déambuler dans les rues et ruelle de la ville.
Bien sur il était la et elle ne risquait rien, mais sa place était au palais non point ici.
Il inclina la tête cherchant une fois encore la profondeur de ses yeux, puit une fois rivé sur eux il lui répondit :
Tu temps tu me dit ?
Et bien la traversée de la ville pour arriver jusqu'au palais t’en donnera………….
En s’approchant encore un peut
De plus je ne veux courir les rues de nuits, point la peur pour moi, mais j’ai avec moi un trésor et je ne veux le perdre ……….
Il serait temps que nous partions et trouvons un endroit pour cette nuit ………
Demain il fera jour la nous irons, tu le sais je dois aussi me présenter, en deux mois le royaume a perdu bien des gens notre roy aussi s’en est allé.
Un nouveau nous gouverne, mais lui reste il encore des
Hommes pour le servir ?
Le protéger ?
Ou sont passé la noblesse, les gardes, son armée, tous morts ?
Tu le sais, il nous faut des réponses, toi pour ton frère et moi pour savoir si je pourrais rester prés de toi.
Alors ma mie, il ne nous reste plus qu’a y aller je connais une taverne non loin de la, il y aura bien une chambre pour nous
Raclant sa gorge
Je voulais dire pour toi ......
Votre bras ma douce ,nous retournons vers les vivants la convenance ,le protocole ,bien lourd que cela tu ne trouve pas ?
Mais si il faut paraître la nuit a bien des avantages…..
Chuchotement :
Comme le fait de pouvoir passer mon bras autour de toi et mettre ma mains la …
Il passa son bras autour d’elle la colla a lui ; sa cape recouvrant le coté .
Sa main alla comme si cela était une habitude contre sa hanche .
De loin on ne voyait plus qu’un gentil homme accompagnant une gente dame ,le protocole donc …..
Il l’embrassa
En route donc ma mie……….
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Re: Les jardins de Paris
par fineasse Dim 16 Sep - 15:20
En sentant sa main sur sa hanche, elle ne fit aucun geste pour la retirer. Il est vrai que de se promener de nuit, n'était pas prudent.... Elle lui sourit
Tu as raison, les promenades nocturnes ne sont peut être pas recommandées dans Paris, et le Palais est un peu loin pour y retourner cette nuit, alors l'auberge est une bonne idée...
Elle se tut et regarda devant elle. Il était si prêt d'elle et son cœur s'affolait de plus belle. La nuit était fraiche et une légère brise se levait. Elle en fut heureuse car elle calmait son visage qui lui brulait légèrement.
Ils allaient sortir du parc quand elle lui pressa le bras et l'arrêta. Elle se tourna vers lui. Elle le regarda, cherchant dans ses yeux une réponse, d'une question qu'elle ne lui poserait pas. Peut être par peur du ridicule... La lune reflétait son visage, il lui sourit mais ne dit rien. Elle se détourna et résignée se mit à marcher à coté de lui... Elle garda le silence perdu dans ses pensées. Elle parla doucement comme pour elle même.
Cette nuit n'est pas comme les autres, elle est le commencement d'une nouvelle vie. Je ne sais si c'est le fait de t'avoir enfin là prêt de moi, mais je sens que plus rien ne sera pareil et que les jours de tristesses sont enfin fini.
Il avait dit Une chambre pour nous... Et c'était rattrapé après. Pourtant même si elle n'avait pas répondu , elle ne l'avait pas non plus contredit...
Tu as raison, les promenades nocturnes ne sont peut être pas recommandées dans Paris, et le Palais est un peu loin pour y retourner cette nuit, alors l'auberge est une bonne idée...
Elle se tut et regarda devant elle. Il était si prêt d'elle et son cœur s'affolait de plus belle. La nuit était fraiche et une légère brise se levait. Elle en fut heureuse car elle calmait son visage qui lui brulait légèrement.
Ils allaient sortir du parc quand elle lui pressa le bras et l'arrêta. Elle se tourna vers lui. Elle le regarda, cherchant dans ses yeux une réponse, d'une question qu'elle ne lui poserait pas. Peut être par peur du ridicule... La lune reflétait son visage, il lui sourit mais ne dit rien. Elle se détourna et résignée se mit à marcher à coté de lui... Elle garda le silence perdu dans ses pensées. Elle parla doucement comme pour elle même.
Cette nuit n'est pas comme les autres, elle est le commencement d'une nouvelle vie. Je ne sais si c'est le fait de t'avoir enfin là prêt de moi, mais je sens que plus rien ne sera pareil et que les jours de tristesses sont enfin fini.
Il avait dit Une chambre pour nous... Et c'était rattrapé après. Pourtant même si elle n'avait pas répondu , elle ne l'avait pas non plus contredit...
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fineasse- Nombre de messages : 33
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Re: Les jardins de Paris
par pathard Dim 16 Sep - 17:54
Ils avaient commencés à marcher, déjà devant eux la première rue sombre juste éclairée par la lune.
Son bras s’était fait plus pressant , il eu son arrêt et cette façon de le regarder comme si il devait répondre a une question comme si il connaissait la réponse ,elle ne lui parla pas vraiment prononçant ses mots comme a elle-même .
Il la laissa parler comme si cela lui faisait du bien, mais il nota ses dires, il lui donnerait une réponse.
Oui il avait encore a lui dire sur cette nouvelle vie qui commençait, car il avait des envies, un besoin aussi cela elle devait le sentir, mais pour le moment il devait trouver l’auberge et laisser la nuit passée.
Ils recommençaient donc a marcher, a fur a mesure de leur avance il recommença a lui parler .oui c’est une nouvelle vie qui commence, bien des événements ce sont déroulés, bien des hommes et femmes ne sont plus la, le royaume se reconstruit, il aura besoin d’homme et de femme pour assurer son avenir et puisque je ne peut entrevoir ma vie.
C’est lui la qui arrêta la marche il ne pouvait lui dire quant la regardant dans les yeux, ils sont pour ceux qui savent voir le reflet de l’âme et ne mentent jamais.
Encore une fois le tourbillon de son regard l’emporta loin, mais il aimait si plonger laissant tout son lui aller et il la laissas entrée en lui.
Sa voie fut moins rassurer plus lente, comme si ce qui allait lui dire était …….
Cela était sa confession pas d’autre mot.
Il ne sera jamais assez tôt ou tard pour te le dire ……
Je suis peut être un homme, mais les mots les verbes et la phrase sont pour moi des inconnus, j’ai pour moi le courage et mon arme, mais cela ne conviens pas a toi ……
Ma vie, ma nouvelle je ne la vois qu’avec toi, peut être que je suis vif ou bien maladroit, mais je connais une chose c’est bien mon cœur, et il me parle …
Déjà avant la mort noire à nos premières rencontres j’avais pris ma décision ………
Et la par cette nuit du renouveau, je sais que cela est ce que je veux …alors même avec des mots peut jolis ,je vais te le dire ………..
Il la regarda
Je ne te demande pas une réponse, juste que tu écoutes, nous avons le temps ……..
J’aime être avec toi et ne veux que toi, puisqu’il faut mettre des formes et des actes, je te demande l’autorisation officiel de te faire la cours et par la même de devenir ton prétendant ……..
Je t’ai retrouver et ne veut plus te voir repartir.
Pour que la belle ne puisse rétorquer de suite à cette tirade il reprit la marche.
En route maintenant, nous devons nous restaurer et demain nous devons être au palais, ma missive doit être lu à cette heure, il attend donc une réponse et aussi ma venue ………….
C’est dans le noir de la rue qu’ils plongeaient, mais a deux ils étaient, il le voulait pour toujours ………..
Son bras s’était fait plus pressant , il eu son arrêt et cette façon de le regarder comme si il devait répondre a une question comme si il connaissait la réponse ,elle ne lui parla pas vraiment prononçant ses mots comme a elle-même .
Il la laissa parler comme si cela lui faisait du bien, mais il nota ses dires, il lui donnerait une réponse.
Oui il avait encore a lui dire sur cette nouvelle vie qui commençait, car il avait des envies, un besoin aussi cela elle devait le sentir, mais pour le moment il devait trouver l’auberge et laisser la nuit passée.
Ils recommençaient donc a marcher, a fur a mesure de leur avance il recommença a lui parler .oui c’est une nouvelle vie qui commence, bien des événements ce sont déroulés, bien des hommes et femmes ne sont plus la, le royaume se reconstruit, il aura besoin d’homme et de femme pour assurer son avenir et puisque je ne peut entrevoir ma vie.
C’est lui la qui arrêta la marche il ne pouvait lui dire quant la regardant dans les yeux, ils sont pour ceux qui savent voir le reflet de l’âme et ne mentent jamais.
Encore une fois le tourbillon de son regard l’emporta loin, mais il aimait si plonger laissant tout son lui aller et il la laissas entrée en lui.
Sa voie fut moins rassurer plus lente, comme si ce qui allait lui dire était …….
Cela était sa confession pas d’autre mot.
Il ne sera jamais assez tôt ou tard pour te le dire ……
Je suis peut être un homme, mais les mots les verbes et la phrase sont pour moi des inconnus, j’ai pour moi le courage et mon arme, mais cela ne conviens pas a toi ……
Ma vie, ma nouvelle je ne la vois qu’avec toi, peut être que je suis vif ou bien maladroit, mais je connais une chose c’est bien mon cœur, et il me parle …
Déjà avant la mort noire à nos premières rencontres j’avais pris ma décision ………
Et la par cette nuit du renouveau, je sais que cela est ce que je veux …alors même avec des mots peut jolis ,je vais te le dire ………..
Il la regarda
Je ne te demande pas une réponse, juste que tu écoutes, nous avons le temps ……..
J’aime être avec toi et ne veux que toi, puisqu’il faut mettre des formes et des actes, je te demande l’autorisation officiel de te faire la cours et par la même de devenir ton prétendant ……..
Je t’ai retrouver et ne veut plus te voir repartir.
Pour que la belle ne puisse rétorquer de suite à cette tirade il reprit la marche.
En route maintenant, nous devons nous restaurer et demain nous devons être au palais, ma missive doit être lu à cette heure, il attend donc une réponse et aussi ma venue ………….
C’est dans le noir de la rue qu’ils plongeaient, mais a deux ils étaient, il le voulait pour toujours ………..
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Re: Les jardins de Paris
par fineasse Dim 16 Sep - 20:06
Elle ne prononça pas un mot, il ne lui demandait pas de réponse tout de suite. Elle l'écouta jusqu'au bout et à chaque parole son cœur battait plus vite. Lorsque qu'il reprirent la marche elle resta pensive ses dernières paroles l'avait retournée. Elle n'entendit qu'a moitié la conversation qu'il essayé d'entretenir, mais elle était un peu ailleurs.
Elle resta silencieuse et regardait devant elle. Prononcer une parole pour le moment lui était bien difficile.
Il ne voulait plus la quittait, il avait ressentit dés leur première rencontre la même chose qu'elle. Elle sourit sans s'en apercevoir...
Au bout d'un certain temps, elle vit qu'ils étaient déjà bien avancés dans les rues, elle s'en voulut d'avoir était aussi distraite.
Je suis désolée, je n'ai pas vraiment écouté ce que tu me disais. Mais c'est une soirée pleine de surprise et j'avoue que je ne m'attendais pas du tout à cela. Pourtant même si tu ne veux pas de réponse tout de suite, je t'en dois une.
Elle s'arrêta et le força par la même occasion à faire de même. Elle ne voulait pas parler à demi mot et surtout qu'il soit en face d'elle pour ce qu'elle allait lui dire.
Tu n'es peut être pas doué avec les mots, ni les verbes, mais qu'importe. Les mots sont une chose, les sentiments, une autre. Et qu'elle plus belle parole que celle du cœur...
Elle se tut et hésita un instant. Elle devait lui donner une réponse, juste à trouver les bon mots pour le faire...
Ce soir tu m'as prouvé par tes dire que tu m'aimes et que tu tiens à moi. Je ressens exactement la même chose et je n'ai pas besoin de réfléchir pour te donner une réponse. Je ne veut et ne souhaite aucun autre prétendant, je sais pour qui mon cœur bat et n'est il pas le meilleur guide qu'il soit? Alors je suis le chemin qu'il m'a tracé et il me ramène à toi.
Elle reprit ensuite la marche, espérant que la réponse faite, était celle qu'il attendait...
Elle resta silencieuse et regardait devant elle. Prononcer une parole pour le moment lui était bien difficile.
Il ne voulait plus la quittait, il avait ressentit dés leur première rencontre la même chose qu'elle. Elle sourit sans s'en apercevoir...
Au bout d'un certain temps, elle vit qu'ils étaient déjà bien avancés dans les rues, elle s'en voulut d'avoir était aussi distraite.
Je suis désolée, je n'ai pas vraiment écouté ce que tu me disais. Mais c'est une soirée pleine de surprise et j'avoue que je ne m'attendais pas du tout à cela. Pourtant même si tu ne veux pas de réponse tout de suite, je t'en dois une.
Elle s'arrêta et le força par la même occasion à faire de même. Elle ne voulait pas parler à demi mot et surtout qu'il soit en face d'elle pour ce qu'elle allait lui dire.
Tu n'es peut être pas doué avec les mots, ni les verbes, mais qu'importe. Les mots sont une chose, les sentiments, une autre. Et qu'elle plus belle parole que celle du cœur...
Elle se tut et hésita un instant. Elle devait lui donner une réponse, juste à trouver les bon mots pour le faire...
Ce soir tu m'as prouvé par tes dire que tu m'aimes et que tu tiens à moi. Je ressens exactement la même chose et je n'ai pas besoin de réfléchir pour te donner une réponse. Je ne veut et ne souhaite aucun autre prétendant, je sais pour qui mon cœur bat et n'est il pas le meilleur guide qu'il soit? Alors je suis le chemin qu'il m'a tracé et il me ramène à toi.
Elle reprit ensuite la marche, espérant que la réponse faite, était celle qu'il attendait...
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Re: Les jardins de Paris
par Anyel Mer 19 Sep - 1:04
Anyel sortie un peu de la taverne....Découvrir un peu le jardin, s'y promener , sans rien craindre...
Elle avait l'habitude de se retrouver seule...
Un peu de calme lui ferais du bien....
Beaucoup de monde étaient venus à l'auberge....
Marchant doucement à la clartée de la nuit....
Elle regardait les étoiles.....
Repensant au couples qu'elle avait vu dans la journée....
Un jour peu être , elle aussi...elle ne serais plus seule....
Mais ,elle devait penser au autres...a leurs bien être...
Anyel repris le chemin de l'auberge pour s'y reposer un peu....
Elle avait l'habitude de se retrouver seule...
Un peu de calme lui ferais du bien....
Beaucoup de monde étaient venus à l'auberge....
Marchant doucement à la clartée de la nuit....
Elle regardait les étoiles.....
Repensant au couples qu'elle avait vu dans la journée....
Un jour peu être , elle aussi...elle ne serais plus seule....
Mais ,elle devait penser au autres...a leurs bien être...
Anyel repris le chemin de l'auberge pour s'y reposer un peu....
Anyel- Nombre de messages : 44
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Date d'inscription : 12/09/2007
Re: Les jardins de Paris
par Grinwold Sam 29 Sep - 15:21
Malgré un ciel couvert, l'air était doux en ce début de soirée. La brise légère venait chatouiller les feuilles des arbres et ce doux bruissement sonnait comme une gracieuse mélodie aux oreilles de Grinwold.
Il était venu chercher un peu de quiétude dans ce parc, pour s'isoler de l'agitation constante des artères parisiennes. Il aimait ses moments là, entouré par la nature, en harmonie avec les éléments. Il en profitait pour refaire à loisir ce monde sale et sans vergogne, rêvant d'une chaude utopie aussi enivrante qu'inaccessible.
Personne aux alentours.
Il s'assit entre deux racines parfaitement agencées, comme si l'arbre avait voulu accueillir les passants fatigués.
Son regard se perdit dans le vol harmonieux d'un groupe d'hirondelles, tandis que son esprit se plaisait à s'imaginer parmi elles.
Ce vagabondage suivit son cours jusqu'à ce que les paupières de l'homme se firent trop lourdes, et finirent immanquablement par se clore.
Il était venu chercher un peu de quiétude dans ce parc, pour s'isoler de l'agitation constante des artères parisiennes. Il aimait ses moments là, entouré par la nature, en harmonie avec les éléments. Il en profitait pour refaire à loisir ce monde sale et sans vergogne, rêvant d'une chaude utopie aussi enivrante qu'inaccessible.
Personne aux alentours.
Il s'assit entre deux racines parfaitement agencées, comme si l'arbre avait voulu accueillir les passants fatigués.
Son regard se perdit dans le vol harmonieux d'un groupe d'hirondelles, tandis que son esprit se plaisait à s'imaginer parmi elles.
Ce vagabondage suivit son cours jusqu'à ce que les paupières de l'homme se firent trop lourdes, et finirent immanquablement par se clore.
Grinwold- Nombre de messages : 2
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Re: Les jardins de Paris
par Cammellya Sam 29 Sep - 19:29
Après avoir déjeuner à la taverne, Cammellya décida d'aller se promener au grand air dans les jardins.
Les jardins commencaient par une grande allée bordée d'arbres centenaires et au bout on apercevait fontaines, et petits jardins bordés de fleurs et arbustres.
Cammellya marchait doucement, l'air était doux. Elle profitait de ce moment de calme.
Au bout de l'allée elle tourna sur la gauche, elle aperçut au loin un homme qui semblait endormi, confortablement installé entre deux racines.
Pour ne pas le déranger elle continua son chemin, et après quelques metres elle arriva sur un petit parc avec une fontaine. Elle s'installa sur un banc et se laissa bercer par le bruit de l'eau.
C'était si paisible, elle ferma les yeux pour savourer ce moment.
Une douce nostalgie l'envahit, cet endroit ressemblait tellement .... Elle rouvrit ses yeux et se sentit d'un seul coup un peu affolée.
Qu'allait-elle devenir, seule ici, sans personne. Elle qui avait toujours connu le doux foyer de la comtesse, qui juste avant de mourrir avait fait d'elle sa fille et lui avait tout léguer.
Une fortune sans personne avec qui la partager qu'elle avait laisser derrière elle.
Elle se souvint de son départ, tout le monde était triste de la voir partir et tous lui avaient promis de bien prendre soin du domaine.
Elle avait emporté avec elle que quelques malles de vetements, des livres et bibelots, et quelques bijoux qui pourront lui servir pour acheter plus tard une maison.
Elle était tellement perdue dans ses pensées qu'elle ne s'aperçut pas que la nuit était en train de tomber.
Elle se leva du banc, elle commençait à avoir froid et elle préférait retourner à la taverne ou elle avait pris une chambre.
Elle marcha d'un bon pas vers la sortie des jardins. Les rues de Paris n'étaient peut etre pas très sures, il vallait mieux qu'elle se dépèche pour aller à la taverne, où elle savait que l'accueil était chaleureux et où elle serait en sécurité.
Les jardins commencaient par une grande allée bordée d'arbres centenaires et au bout on apercevait fontaines, et petits jardins bordés de fleurs et arbustres.
Cammellya marchait doucement, l'air était doux. Elle profitait de ce moment de calme.
Au bout de l'allée elle tourna sur la gauche, elle aperçut au loin un homme qui semblait endormi, confortablement installé entre deux racines.
Pour ne pas le déranger elle continua son chemin, et après quelques metres elle arriva sur un petit parc avec une fontaine. Elle s'installa sur un banc et se laissa bercer par le bruit de l'eau.
C'était si paisible, elle ferma les yeux pour savourer ce moment.
Une douce nostalgie l'envahit, cet endroit ressemblait tellement .... Elle rouvrit ses yeux et se sentit d'un seul coup un peu affolée.
Qu'allait-elle devenir, seule ici, sans personne. Elle qui avait toujours connu le doux foyer de la comtesse, qui juste avant de mourrir avait fait d'elle sa fille et lui avait tout léguer.
Une fortune sans personne avec qui la partager qu'elle avait laisser derrière elle.
Elle se souvint de son départ, tout le monde était triste de la voir partir et tous lui avaient promis de bien prendre soin du domaine.
Elle avait emporté avec elle que quelques malles de vetements, des livres et bibelots, et quelques bijoux qui pourront lui servir pour acheter plus tard une maison.
Elle était tellement perdue dans ses pensées qu'elle ne s'aperçut pas que la nuit était en train de tomber.
Elle se leva du banc, elle commençait à avoir froid et elle préférait retourner à la taverne ou elle avait pris une chambre.
Elle marcha d'un bon pas vers la sortie des jardins. Les rues de Paris n'étaient peut etre pas très sures, il vallait mieux qu'elle se dépèche pour aller à la taverne, où elle savait que l'accueil était chaleureux et où elle serait en sécurité.
Cammellya-
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