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LES RUES DE PARIS
par pathard Lun 17 Sep - 20:45
Si l’écoute est une affaire de personne, son caractère il avait appris a le faire et la ses oreilles captaient d’un seule bloc tout ce qu’elle disait.
Il était donc vrai que leurs sentiments s’accordaient comme une valse, a deux donc.
Il ne restait plus comme cette de danse a augmenter doucement le tourbillon des sentiments.
Son bras fut plus pressant ses pas moins rapide, il l’écoutait, enivrait par le son de sa voix comme le chant des ministérielles et si on l’observait en ce moment bien des personnes ceux demanderont, quelle est donc cet homme avec un air qui ne ressemble en rien a ce qu’il doit être en présence d’une femme.
Et bien idiot certes mais amoureux sûrement.
Il la regarda, sourit de plus belle et enfin lui répondit :
Tu n’a pas écoute mes mots et pourtant tu répond aussi justement que si cela était une évidence écrire dans le grand livre de la vie.
Oui cette soirée et maintenant le début de la nuit est bien étrange, a croire que nous, ne, nous sommes jamais quitté.
Sache qu’il en était ainsi pour moi, je ne te voyais pas avec mes yeux mais lui te regardait chacun jour et n’avait qu’une envie te revoir.
Maintenant je ne sais si cela est encore utile de jouer la comédie ….
Bien sur il y a toujours la convenance le protocole ….drôle de couple ses deux la , soit disant en passant ………
Serrant plus encore son bras
Sommes nous maintenant liés ?
Ou dois je encore attendre pour faire ma demande …….. ?
A l’entrée de la ruelle menant a la taverne il s’arrêta nette et profita d’un rayon de lune bien viellant pour lui mettre dans la main un objet.
Puisque cette nuit est étrange, je ne vais rien faire pour arrêter le phénomène, je pense même que la j’ai enfoncé le clou au plus profond ………….
Il lui laissa au creux de la main bien plus qu’une simple intention, mais sa vie.
D’un souffle il repris
Elle n’est peut être pas comme tu le voudrais …………..
Allons il est temps d’aller a la taverne la nuit n’est pas si chaude que ça …………
perle parmi les fleurs
Il était donc vrai que leurs sentiments s’accordaient comme une valse, a deux donc.
Il ne restait plus comme cette de danse a augmenter doucement le tourbillon des sentiments.
Son bras fut plus pressant ses pas moins rapide, il l’écoutait, enivrait par le son de sa voix comme le chant des ministérielles et si on l’observait en ce moment bien des personnes ceux demanderont, quelle est donc cet homme avec un air qui ne ressemble en rien a ce qu’il doit être en présence d’une femme.
Et bien idiot certes mais amoureux sûrement.
Il la regarda, sourit de plus belle et enfin lui répondit :
Tu n’a pas écoute mes mots et pourtant tu répond aussi justement que si cela était une évidence écrire dans le grand livre de la vie.
Oui cette soirée et maintenant le début de la nuit est bien étrange, a croire que nous, ne, nous sommes jamais quitté.
Sache qu’il en était ainsi pour moi, je ne te voyais pas avec mes yeux mais lui te regardait chacun jour et n’avait qu’une envie te revoir.
Maintenant je ne sais si cela est encore utile de jouer la comédie ….
Bien sur il y a toujours la convenance le protocole ….drôle de couple ses deux la , soit disant en passant ………
Serrant plus encore son bras
Sommes nous maintenant liés ?
Ou dois je encore attendre pour faire ma demande …….. ?
A l’entrée de la ruelle menant a la taverne il s’arrêta nette et profita d’un rayon de lune bien viellant pour lui mettre dans la main un objet.
Puisque cette nuit est étrange, je ne vais rien faire pour arrêter le phénomène, je pense même que la j’ai enfoncé le clou au plus profond ………….
Il lui laissa au creux de la main bien plus qu’une simple intention, mais sa vie.
D’un souffle il repris
Elle n’est peut être pas comme tu le voudrais …………..
Allons il est temps d’aller a la taverne la nuit n’est pas si chaude que ça …………
perle parmi les fleurs
pathard-
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Re: LES RUES DE PARIS
par fineasse Lun 17 Sep - 22:28
Elle l'avait écouté, mais avait elle bien compris? Chaque mot était comme un doux son à son oreille, et lorsqu'il lui pris la main et qu'elle senti qu'il glissa quelque chose dans la sienne, elle n'osa regarder tout de suite. Il avait voulu reprendre la route, mais elle n'avait pas bougé. Elle resta sur place comme figée. Regardant sa main fermée, l'ouvrir, ne pas l'ouvrir, elle resta indécise. Au bout de quelques instant, elle se décida et regarda ce qu'il avait glissé dedans. En voyant la bague, son regard se figea, oui elle avait bien compris. Il était en avant , et s'était arrêté. Il se retourna, mais elle ne bougea pas; son regard fixé sur la bague. Elle ne pouvait croire que son rêve allait devenir réalité. Elle ne put prononcer un mot. Pourtant elle aurait du parler, lui répondre quelque chose, mais aucun son ne sortit. Elle respira plusieurs fois et essaya de calmer le tremblement de ses mains. Ce n'était pas de la nervosité, mais l'émotion. Elle sentit enfin capable de parler, mais ça voix tremblait.
Je ne sais que dire, j'ai rêvé de ce moment si souvent...
Elle s'arrêta, les mots se mélangeaient et elle ne pouvait continuer. Elle le regarda, il n'avait toujours pas bougé.
Peut être qu'en ne répondant pas à sa question, était il déçu, pourtant elle voulait lui dire que à se moment précis eil faisait d'elle la plus heureuse du monde, qu'elle voulait plus que tout devenir sa femme, mais elle n'arrivait pas à continuer.
Elle le regarda et ne put que lui sourire. Ses jambes tremblaient un peu, et refusait de bougeait pour le moment.
Elle essaya de retrouver son calme, mais n'y arrivait. Au bout de quelques instants, elle parla en chuchotant presque.
Je suis désolée, mais les mots me manquent.....
Elle pensa qu'elle devait lui répondre....
Je ne suis pas sur que se soit le meilleur moyen de répondre à une demande, mais je veux devenir ta femme et te dis oui...
Elle reprit sa respiration et le regarda...
Je ne sais que dire, j'ai rêvé de ce moment si souvent...
Elle s'arrêta, les mots se mélangeaient et elle ne pouvait continuer. Elle le regarda, il n'avait toujours pas bougé.
Peut être qu'en ne répondant pas à sa question, était il déçu, pourtant elle voulait lui dire que à se moment précis eil faisait d'elle la plus heureuse du monde, qu'elle voulait plus que tout devenir sa femme, mais elle n'arrivait pas à continuer.
Elle le regarda et ne put que lui sourire. Ses jambes tremblaient un peu, et refusait de bougeait pour le moment.
Elle essaya de retrouver son calme, mais n'y arrivait. Au bout de quelques instants, elle parla en chuchotant presque.
Je suis désolée, mais les mots me manquent.....
Elle pensa qu'elle devait lui répondre....
Je ne suis pas sur que se soit le meilleur moyen de répondre à une demande, mais je veux devenir ta femme et te dis oui...
Elle reprit sa respiration et le regarda...
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fineasse- Nombre de messages : 33
Localisation InGame : Là où son coeur la guide
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Re: LES RUES DE PARIS
par pathard Mar 18 Sep - 1:38
Aux brises légères qui poussent les navires vers le large et le bleu de la mer ,il y dans les sentiments la même choses ,aux pensées renoncées pousse le désir de vouloir et de croire que cela est comme l’océan sans fin donc .
Ses sentiments qui lissent le cœur vous donne des ailes chavire votre être
.
Elle c’était arrêté regardant l’objets, la bague symbole de ce qu’elle représenter pour lui.
Cette nuit il avait pour une fois oser lui dire ce que deux plus tôt il avait gradé en lui et bien lui avait fait elle avait les mêmes et voulait, elle aussi partager sa vie .
Tout en une nuit avait été prononcé, comme pour balayer la noirceur du fléau, deux long mois pour enfin, exploser de joie.
De tout ses mots et phrases prononcées une lui accrocha les oreilles :
« …..Je ne suis pas sur que se soit le meilleur moyen de répondre à une demande, mais je veux devenir ta femme et te dis oui... «
il la regarde et fut les pas qu’il le séparait elle .
il déposa un baisé sur sa bouche
Tu n’aurais pas trouver mieux de toute façon tu a dis ce qu’il fallait un oui .
Alors ne cherche plus tout est dit ce soir il y aura un couple a table et une chambre pour toute fin.
Allons ma douce il se fait tard ,ton bras mais avant ………
Il l’embrassa doucement pour commencer et puit avec de plus en plus de fougue.
Il la regarda et ne lui dit que cela :
Je te veux pour femme et mère de mes enfants .
Ton bras la tavernes est la a quelques pas ,allons y je commence a avoir faim .
Chuchote :
Mais faim de quoi ……………
Ses sentiments qui lissent le cœur vous donne des ailes chavire votre être
.
Elle c’était arrêté regardant l’objets, la bague symbole de ce qu’elle représenter pour lui.
Cette nuit il avait pour une fois oser lui dire ce que deux plus tôt il avait gradé en lui et bien lui avait fait elle avait les mêmes et voulait, elle aussi partager sa vie .
Tout en une nuit avait été prononcé, comme pour balayer la noirceur du fléau, deux long mois pour enfin, exploser de joie.
De tout ses mots et phrases prononcées une lui accrocha les oreilles :
« …..Je ne suis pas sur que se soit le meilleur moyen de répondre à une demande, mais je veux devenir ta femme et te dis oui... «
il la regarde et fut les pas qu’il le séparait elle .
il déposa un baisé sur sa bouche
Tu n’aurais pas trouver mieux de toute façon tu a dis ce qu’il fallait un oui .
Alors ne cherche plus tout est dit ce soir il y aura un couple a table et une chambre pour toute fin.
Allons ma douce il se fait tard ,ton bras mais avant ………
Il l’embrassa doucement pour commencer et puit avec de plus en plus de fougue.
Il la regarda et ne lui dit que cela :
Je te veux pour femme et mère de mes enfants .
Ton bras la tavernes est la a quelques pas ,allons y je commence a avoir faim .
Chuchote :
Mais faim de quoi ……………
pathard- Nombre de messages : 38
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Re: LES RUES DE PARIS
par fineasse Mar 18 Sep - 15:16
Son baiser et ses paroles, la retourna. Elle perdit un instant pied et regardant à nouveau la bague, la passa enfin à son doigt. Elle était belle, mais surtout elle était le symbole de son amour. Il ne pouvait en cette soirée lui faire plus beau cadeau. Oui elle serait sa femme et rien ne pourra empêcher cela.
Elle prit enfin son bras et d'un pas mal assuré, le suivit. La lune les éclairée, comme pour leur indiquer le chemin.
Elle le regarda et se souvint de ses dernières paroles chuchoté à son oreille:".... Mais faim de quoi ……………" Elle savait ce qu'il voulait dire, mais ne répondit pas. L'auberge était juste là, et à part la gorge un peu sèche, elle n'avait pas particulièrement faim. Elle sourit en repensant à leur première rencontre. Le schéma se répétait un peu, mais cette foi ci, il y avait une différence . Même si elle n'était pas encore officiellement sa femme, dans son cœur, elle lui appartenait déjà...
Voilà la taverne, et vu les bouleversements de cette soirée, me rafraîchir un peu ne me fera pas de mal.
Elle avait du mal à avoir les idées cohérentes. Penser une chose était bien difficile, la situation la dépassait un peu. Une demande pour la courtiser, qui fini en déclaration et en demande en mariage. Elle savait les choses un peu rapides, mais elle n'aurait pas voulu que se soit autrement. Que lui dire maintenant, ils étaient devant la porte de l'auberge. Elle eu un moment d'hésitation, se raidit légèrement. Se n'était pas de la peur, mais juste un peu d'appréhension. Elle ne le regarda pas. Elle respira doucement, calmant son cœur qui battait plus vite. Pourvu qu'il ne remarque rien pensa t'elle......
Elle prit enfin son bras et d'un pas mal assuré, le suivit. La lune les éclairée, comme pour leur indiquer le chemin.
Elle le regarda et se souvint de ses dernières paroles chuchoté à son oreille:".... Mais faim de quoi ……………" Elle savait ce qu'il voulait dire, mais ne répondit pas. L'auberge était juste là, et à part la gorge un peu sèche, elle n'avait pas particulièrement faim. Elle sourit en repensant à leur première rencontre. Le schéma se répétait un peu, mais cette foi ci, il y avait une différence . Même si elle n'était pas encore officiellement sa femme, dans son cœur, elle lui appartenait déjà...
Voilà la taverne, et vu les bouleversements de cette soirée, me rafraîchir un peu ne me fera pas de mal.
Elle avait du mal à avoir les idées cohérentes. Penser une chose était bien difficile, la situation la dépassait un peu. Une demande pour la courtiser, qui fini en déclaration et en demande en mariage. Elle savait les choses un peu rapides, mais elle n'aurait pas voulu que se soit autrement. Que lui dire maintenant, ils étaient devant la porte de l'auberge. Elle eu un moment d'hésitation, se raidit légèrement. Se n'était pas de la peur, mais juste un peu d'appréhension. Elle ne le regarda pas. Elle respira doucement, calmant son cœur qui battait plus vite. Pourvu qu'il ne remarque rien pensa t'elle......
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fineasse- Nombre de messages : 33
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Re: LES RUES DE PARIS
par evangelyne Mer 19 Sep - 17:23
La nuit tombait sur Paris, les rues commençaient à s'obscurcir et elle se hâta de trouver un refuge pour la nuit.
Elle parcouru les rues les unes après les autres, à la recherche de celui-ci. Apparemment, les gens étaient regroupés tous dans un unique endroit. Il y avait bien des maisons mais celles-ci étaient plus que sombres.
Elle frissonna et ressera sa cape sur elle, la peste ici aussi avait fait des ravages.
Enfin, elle vit une auberge et s'approcha de celle-ci.
Elle parcouru les rues les unes après les autres, à la recherche de celui-ci. Apparemment, les gens étaient regroupés tous dans un unique endroit. Il y avait bien des maisons mais celles-ci étaient plus que sombres.
Elle frissonna et ressera sa cape sur elle, la peste ici aussi avait fait des ravages.
Enfin, elle vit une auberge et s'approcha de celle-ci.
evangelyne-
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Re: LES RUES DE PARIS
par Merlin Mer 19 Sep - 17:57
Alors que le jour commence a tombé, je me décide d'aller au palais du Louvre, voir si je pourrai avoir une audience, que je puisse me mettre à la disposition du Roy. Louis X.
Marchant d'un pas décidé, les rues défilai devant moi, un peu perdu je cherche mon chemin, les gens courent dans tous les sens, la ville grouille, une certaine agitation que je n'ai pas l habitude voir!!! Que de monde !! Une légère brise froide, l’automne arrive à grand pas !! Je mis ma cape autour de mes épaules.
Après bien des détours, je me retrouve face au palais du Louvre, impressionné par une si belle architecture !! Je me pose devant et vais attendre avec un peu de chance je peux avoir une audience. Mes yeux contemplent la ville, qui doucement sombre dans le noir!! Luna a mes cotés, elle aussi surprise de voir autant de personne, nous sommes tous deux des solitaires.
Je ne pourrai pas resté cette nuit, donc je vais attendre un moment et je retournerai a la taverne!! Et demain, je me lèverai plus tôt.
Après une longue attente, aucune âme arriva ou sorti du Louvre je pris la décision de retourner a la taverne,demain je reviendrai peut être, sinon je repart sur les chemins, la nuit me guidera dans mes choix !!!
Marchant d'un pas décidé, les rues défilai devant moi, un peu perdu je cherche mon chemin, les gens courent dans tous les sens, la ville grouille, une certaine agitation que je n'ai pas l habitude voir!!! Que de monde !! Une légère brise froide, l’automne arrive à grand pas !! Je mis ma cape autour de mes épaules.
Après bien des détours, je me retrouve face au palais du Louvre, impressionné par une si belle architecture !! Je me pose devant et vais attendre avec un peu de chance je peux avoir une audience. Mes yeux contemplent la ville, qui doucement sombre dans le noir!! Luna a mes cotés, elle aussi surprise de voir autant de personne, nous sommes tous deux des solitaires.
Je ne pourrai pas resté cette nuit, donc je vais attendre un moment et je retournerai a la taverne!! Et demain, je me lèverai plus tôt.
Après une longue attente, aucune âme arriva ou sorti du Louvre je pris la décision de retourner a la taverne,demain je reviendrai peut être, sinon je repart sur les chemins, la nuit me guidera dans mes choix !!!
Merlin- Nombre de messages : 25
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Re: LES RUES DE PARIS
par evangelyne Ven 21 Sep - 10:11
Dehors, Paris commençait à se réveiller tout doucement, ca et là quelques badaux traînaient mais elle s'était attendu à y trouver plus de monde même à cette heure matinale, son père lui ayant vanté le fourmillement de Paris même à l'aube.
Elle espéra sincèrement que la vie allait reprendre son cours normalement assez rapidement.
Elle se hâta dans les rues de Paris et c'est bien vite qu'elle arriva devant le palais du Louvre.
Elle s'approcha d'un garde posté à l'entrée du palais.
- Bonjour, je suis Evangelyne Royere de Vassivière, je viens prendre mes fonctions de Grand maréchal de France. Où puis-je m'adresser ?
Celui-ci, après l'avoir salué lui indiqua l'endroit où se présenter. Evangelyne le remercia et elle entra dans le palais du Louvre un peu impressionnée par la grandeur et la beauté des lieux.
Elle espéra sincèrement que la vie allait reprendre son cours normalement assez rapidement.
Elle se hâta dans les rues de Paris et c'est bien vite qu'elle arriva devant le palais du Louvre.
Elle s'approcha d'un garde posté à l'entrée du palais.
- Bonjour, je suis Evangelyne Royere de Vassivière, je viens prendre mes fonctions de Grand maréchal de France. Où puis-je m'adresser ?
Celui-ci, après l'avoir salué lui indiqua l'endroit où se présenter. Evangelyne le remercia et elle entra dans le palais du Louvre un peu impressionnée par la grandeur et la beauté des lieux.
evangelyne- Nombre de messages : 50
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Re: LES RUES DE PARIS
par Taramis de Brassac Ven 21 Sep - 18:43
Le vieux Pair était un jeune homme, malgré qu'il avait eu des enfants, il n'était point très vieux, même beau jeune homme. Peu importe sa description. Il était dans son bureau et ne voulait pas être dérangé, cependant un de ses gardes vint le déranger.
"Monsieur le Comte, monsieur le comte ! La Grande Maréchale de France est arrivée, elle attend dans l'entrée du palais, monsieur le comte !"
Alors comme ça elle attendait dans l'entrée, il voulu donc user de sa politesse et de sa galanterie avec icelle. Il se leva, referma la porte de son bureau, prit par le couloir ouest, descendit la tour et arriva donc dans l'entrée du palais du Louvre.
Quelle magnifique dame, pensa-t-il. Il se dirigea auprès d'icelle.
Dame Evangelyne, bienvenue au palais du Louvre, je me nomme Taramis de Brassac, Pair de France et Comte d'Evreux.
Il était dans son habitude de tendre sa main de l'annulaire recouvert d'une chevalière afin qu'on baise icelle, mais se dit que ce genre de "protocole" il allait le nier pour cette fois. Il lui sourit et contempla ses yeux que la clarté de la pièce définissait iceux comme splendide.
"Monsieur le Comte, monsieur le comte ! La Grande Maréchale de France est arrivée, elle attend dans l'entrée du palais, monsieur le comte !"
Alors comme ça elle attendait dans l'entrée, il voulu donc user de sa politesse et de sa galanterie avec icelle. Il se leva, referma la porte de son bureau, prit par le couloir ouest, descendit la tour et arriva donc dans l'entrée du palais du Louvre.
Quelle magnifique dame, pensa-t-il. Il se dirigea auprès d'icelle.
Dame Evangelyne, bienvenue au palais du Louvre, je me nomme Taramis de Brassac, Pair de France et Comte d'Evreux.
Il était dans son habitude de tendre sa main de l'annulaire recouvert d'une chevalière afin qu'on baise icelle, mais se dit que ce genre de "protocole" il allait le nier pour cette fois. Il lui sourit et contempla ses yeux que la clarté de la pièce définissait iceux comme splendide.
Taramis de Brassac- Site Admin
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Re: LES RUES DE PARIS
par evangelyne Ven 21 Sep - 19:59
La jeune Grande Maréchale regardait à droite à gauche et admirait les lieux. Elle eut une pensée émue, son père ayant franchi ses murs avant elle. Beaucoup de monde passait auprès d'elle sans se retourner, les habitués du Louvre. Dans quelques jours, elle serait comme eux, absorbé par son travail et ses diverses occupations.
Perdues dans ses pensées, elle revint à la réalité lorsque Taramis de Brassac lui souhaita la bienvenue et se présenta à elle. Elle le dévisagea et reconnu en lui la personne aperçue la veille à l'auberge.
Pourvu qu'il ne me reconnaisse pas, pensa-t-elle tout en lui souriant
Monsieur le Comte, enchantée de faire votre connaissance. Merci de votre accueil. Les lieux ont l'air magnifique.
Puis elle se reprit plus sérieusement.
Pardonnez-moi, mais j'ai un faible pour l'architecture, mon père m'avait tellement parlé de ces lieux.
Son regard se voila légèrement lorsqu'elle parla de celui-ci.
Vous avez sans doute du le connaitre ?
Elle le regardait, avait-il le même âge que son père ou plus jeune ? Encore des considérations de femmes, aurait pensé son père si il avait été à ses côtés.
Perdues dans ses pensées, elle revint à la réalité lorsque Taramis de Brassac lui souhaita la bienvenue et se présenta à elle. Elle le dévisagea et reconnu en lui la personne aperçue la veille à l'auberge.
Pourvu qu'il ne me reconnaisse pas, pensa-t-elle tout en lui souriant
Monsieur le Comte, enchantée de faire votre connaissance. Merci de votre accueil. Les lieux ont l'air magnifique.
Puis elle se reprit plus sérieusement.
Pardonnez-moi, mais j'ai un faible pour l'architecture, mon père m'avait tellement parlé de ces lieux.
Son regard se voila légèrement lorsqu'elle parla de celui-ci.
Vous avez sans doute du le connaitre ?
Elle le regardait, avait-il le même âge que son père ou plus jeune ? Encore des considérations de femmes, aurait pensé son père si il avait été à ses côtés.
evangelyne- Nombre de messages : 50
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Re: LES RUES DE PARIS
par Anyel Ven 21 Sep - 22:40
Elle se promenait dans les rues…il y avait beaucoup de monde…
Ses paniers sur ses bras, dans l’espoir de trouver de quoi faire des repas …
Des épices seraient les bienvenus….
Anyel regardait un peu partout….
Elle avait espoir de trouver ce qu’il lui fallait….
Des légumes pour accompagnée les viandes…
Elle flânait…Cela lui fesais du bien de quitter la cuisine et l’auberge…
Penser un peu a elle…
Mais, elle n’avait pas le temps…
Anyel devait penser aux autres….a l’auberge…
Elle regardait les belles maisons …
Imaginant les gens qui devaient y habiter…
De belles robes…de beaux atours…
Elle pris le chemin de l’auberge, doucement…
Ses paniers charger de victuailles….
Ses paniers sur ses bras, dans l’espoir de trouver de quoi faire des repas …
Des épices seraient les bienvenus….
Anyel regardait un peu partout….
Elle avait espoir de trouver ce qu’il lui fallait….
Des légumes pour accompagnée les viandes…
Elle flânait…Cela lui fesais du bien de quitter la cuisine et l’auberge…
Penser un peu a elle…
Mais, elle n’avait pas le temps…
Anyel devait penser aux autres….a l’auberge…
Elle regardait les belles maisons …
Imaginant les gens qui devaient y habiter…
De belles robes…de beaux atours…
Elle pris le chemin de l’auberge, doucement…
Ses paniers charger de victuailles….
Anyel- Nombre de messages : 44
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Re: LES RUES DE PARIS
par Brume Lun 24 Sep - 19:20
Poussé par une faim tenace, Brume se décide à quitter sa chambre sous les toits.
Il n'a plus un sou en poche. Son dernier mauvais coup remonte à deux jours. Un échec ! Malgré l’habileté de Brume, le bourgeois à décelé la présence d’une main explorant rapidement les poches de sa redingote.
L’idiot s’est mis à hurler comme un goret qu’on égorge ! Ameutant la foule autour de lui ! Encourageant les plus téméraires à le poursuivre. Promettant même une récompense.
Fuir ! A travers les ruelles encombrées !
Fuir ! Bousculant sans retenue les passants qui barrent la route !
Fuir encore ! Et parvenir enfin à semer la populace excitée, après une course épuisante ! Le coeur cognant à se rompre !
Disparaître à bout de souffle à l’abri d’une porte cochère avant de regagner sa misérable mansarde. Libre mais bredouille.
Le vagabond au visage d’ange est resté sans sortir, de crainte d’être recherché. Mais la faim est obsédante, plus rien d’autre ne compte lorsqu’elle vous tord les boyaux !
Et Brume se fait invisible. Longeant les murs, il n’est plus qu’une ombre. Il n’est plus qu’un regard perçant, guettant une proie inattentive exhibant imprudemment des signes de richesse.
Promeneur, veille sur ta bourse !
Il n'a plus un sou en poche. Son dernier mauvais coup remonte à deux jours. Un échec ! Malgré l’habileté de Brume, le bourgeois à décelé la présence d’une main explorant rapidement les poches de sa redingote.
L’idiot s’est mis à hurler comme un goret qu’on égorge ! Ameutant la foule autour de lui ! Encourageant les plus téméraires à le poursuivre. Promettant même une récompense.
Fuir ! A travers les ruelles encombrées !
Fuir ! Bousculant sans retenue les passants qui barrent la route !
Fuir encore ! Et parvenir enfin à semer la populace excitée, après une course épuisante ! Le coeur cognant à se rompre !
Disparaître à bout de souffle à l’abri d’une porte cochère avant de regagner sa misérable mansarde. Libre mais bredouille.
Le vagabond au visage d’ange est resté sans sortir, de crainte d’être recherché. Mais la faim est obsédante, plus rien d’autre ne compte lorsqu’elle vous tord les boyaux !
Et Brume se fait invisible. Longeant les murs, il n’est plus qu’une ombre. Il n’est plus qu’un regard perçant, guettant une proie inattentive exhibant imprudemment des signes de richesse.
Promeneur, veille sur ta bourse !
Brume- Nombre de messages : 25
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Re: LES RUES DE PARIS
par Brume Lun 24 Sep - 20:59
Mais les bourgeois sont étonnamment rares dans les rues en cet instant.
Ils doivent être confortablement installés devant une table débordant d’exquises victuailles, dans leur luxueux logis ou dans une taverne accueillante.
Vous reprendrez bien une tranche de gigot, messire Prévost ?
Ou bien :
Messire Conseiller, il reste du chevreuil !
L’ange est en colère. Il devient démon ! Mais ne peut planter sa fourche dans aucune bourse bien gonflée, dans ces ruelles désertes.
Une bien charmante personne flâne dans la même impasse, portant deux gigantesques paniers débordant d’appétissantes provisions.
Elle est elle-même très appétissante, se dit l’ange.
Sans doute une aubergiste ou une cuisinière ! Ses modestes vêtements ne la classent pas bien haut dans la hiérarchie. Et Brume ne s’attaque pas aux classes laborieuses. Il a beaucoup de respect pour ceux qui n’hésitent pas à se salir pour déposer chaque soir une miche de pain sur la table, devant une marmaille bruyante et affamée.
Curieux, et sans but précis, l’ange se met à suivre la belle et aussi ses paniers remplis.
Brume- Nombre de messages : 25
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Re: LES RUES DE PARIS
par Anyel Lun 24 Sep - 21:59
Anyel continuait de marché tranquillement...Ses paniers devenaient bien lourd pour elle...
Elle s'arreta et les déposa un peu pour se reposer...
Les reprenant pour poursuivre sa route ,elle se retrourna et vis l'homme non loin d'elle...
Lui fesant un signe de la tête pour le saluer, elle repris sa route jusqu'a l'auberge...
Elle s'arreta et les déposa un peu pour se reposer...
Les reprenant pour poursuivre sa route ,elle se retrourna et vis l'homme non loin d'elle...
Lui fesant un signe de la tête pour le saluer, elle repris sa route jusqu'a l'auberge...
Anyel- Nombre de messages : 44
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Re: LES RUES DE PARIS
par fineasse Mar 25 Sep - 14:47
Aprés avoir payé leur du et remercié l'aubergiste, ils se retrouvèrent dans la rue. Elle respira l'air frais qui lui fit beaucoup de bien. Sans même une parole, il avait compris. Mais il ne savait pas que la réponse qu'elle attendait, elle l'avait déjà, et que ce n'était pas celle espérée. Maintenant, elle devait aller de l'avant et continuer sans celui qui l'avait toujours protégé depuis son enfance.
Elle se tourna vers lui et essayant de cacher cette tristesse, elle lui demanda:
Et bien par où commençons-nous nos recherche? et de quelle missive parlez-vous?, avez-vous eu des nouvelles du Roy.
Elle se tut et rougis, son empressement à vouloir tout de suite des réponses, n'était pas ce qui convenait. Elle détourna, le regard, et lui dis tout bas:
Excuse-moi, je parle plus vite que je ne réfléchis parfois.
Elle ne prononça plus une parole, et regarda autour d'elle, faisant mine de s'intéressait à ce qui se passait dans la rue...
Elle se tourna vers lui et essayant de cacher cette tristesse, elle lui demanda:
Et bien par où commençons-nous nos recherche? et de quelle missive parlez-vous?, avez-vous eu des nouvelles du Roy.
Elle se tut et rougis, son empressement à vouloir tout de suite des réponses, n'était pas ce qui convenait. Elle détourna, le regard, et lui dis tout bas:
Excuse-moi, je parle plus vite que je ne réfléchis parfois.
Elle ne prononça plus une parole, et regarda autour d'elle, faisant mine de s'intéressait à ce qui se passait dans la rue...
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Re: LES RUES DE PARIS
par pathard Mar 25 Sep - 22:57
‘La vie c’est les rues de Paris’ voila ce que disait un gentilhomme partie retrouver ses ancêtres plus tôt que prévus.
Pour lui c’était sentir le vent et l’odeur du fer brûlant sous le soleil c’était aussi regarder a coter de lui et sentir a son sa dame.
que désire un homme dans sa vie ?
Servir, aimer et être aimer point du chemin plus droit que celui la, il allait donc le suivre le temps que durera son souffle.
Faut il rappeler ce que sont les faits et la réalité ?
Non !deviner qu’elle avait été la réponse reçue fut en regardant ses yeux un jeu de jeune page simple comme le coup des plus fine lame.
« C’est le soupir de la haine qui guide mes pas la voie de mon roy qui arme mon bras, la fureur de mon âme qui aide ma lance ……… »
Il la regarda et sourit
La poésie les mots les verbes et les phrases , mon ange même pour des hommes d’ost peuvent devenir aussi belle que le poète le dit ,enfin mes pensées ,reste mienne .
Et nous allons commencer par cette ruelle la elle est bien belle et désirable comme une femme que je connais.
Si je n’étais pas un galant aimant c’est a la barbare que j’irais la soulever.
Mais je suis un homme de cœur et c’est avec tendresse que je vais vers toi.
Enfin ma dame et pour finir de te répondre, oui j’ai reçue une réponse du roy, il ne me manque plus que l’accord de la chambre des pairs du sénéchal de France pour commencer la tache.
Et j’aurais besoins de toi.
Aide de camp cela te va, confidente femme de cœur aussi voila ta tache, aise ce que tu désire et veux ?
C’est ce que je voudrais moi ………
Il la regarda pressa plus sur son bras
Nous y allons ?
Regarde !cette bâtisse juste la …………….
Pour lui c’était sentir le vent et l’odeur du fer brûlant sous le soleil c’était aussi regarder a coter de lui et sentir a son sa dame.
que désire un homme dans sa vie ?
Servir, aimer et être aimer point du chemin plus droit que celui la, il allait donc le suivre le temps que durera son souffle.
Faut il rappeler ce que sont les faits et la réalité ?
Non !deviner qu’elle avait été la réponse reçue fut en regardant ses yeux un jeu de jeune page simple comme le coup des plus fine lame.
« C’est le soupir de la haine qui guide mes pas la voie de mon roy qui arme mon bras, la fureur de mon âme qui aide ma lance ……… »
Il la regarda et sourit
La poésie les mots les verbes et les phrases , mon ange même pour des hommes d’ost peuvent devenir aussi belle que le poète le dit ,enfin mes pensées ,reste mienne .
Et nous allons commencer par cette ruelle la elle est bien belle et désirable comme une femme que je connais.
Si je n’étais pas un galant aimant c’est a la barbare que j’irais la soulever.
Mais je suis un homme de cœur et c’est avec tendresse que je vais vers toi.
Enfin ma dame et pour finir de te répondre, oui j’ai reçue une réponse du roy, il ne me manque plus que l’accord de la chambre des pairs du sénéchal de France pour commencer la tache.
Et j’aurais besoins de toi.
Aide de camp cela te va, confidente femme de cœur aussi voila ta tache, aise ce que tu désire et veux ?
C’est ce que je voudrais moi ………
Il la regarda pressa plus sur son bras
Nous y allons ?
Regarde !cette bâtisse juste la …………….
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Re: LES RUES DE PARIS
par fineasse Mer 26 Sep - 21:33
Elle l'avait écouté sans rien, soulagée qu'il n'est fait aucune remarque sur son changement de comportement. Elle regarda la bâtisse et l'examina. Certes elle était jolie et dans une rue calme, mais il fallait en voir d'autre pour être sur de ne pas se tromper.
Mais surtout il attendait une réponse, même si il avait dévié la conversation, elle le connaissait assé pour savoir qu'il n'avait pas lancé cela à la légère...
La bâtisse est belle, mais il vaut mieux ne pas se décider à la légère. Et pour répondre à ta demande, même si ce la me semble évident, je serai heureuse d'être aide de camps, mais surtout ta confidente et ta femme...
Elle se tut, souriant et se concentra sur le lieu où peut être ils bâtiront leur futur bonheur. Mais une chose la tracassait, elle ne dit rien, pourtant elle se sentait mal à l'aise en regardant la maison. Pourquoi, elle n'aurait su le dire. Elle ne dit mot, mais elle était de moins en moins à l'aise. Elle se retourna et pris son bras. L'incitant à reprendre leur marche.
Continuons veux-tu? Il y a encore beaucoup de rue à Paris, et surement d'autres endroits à voir...
Elle reprit la marche, serrant son bras un peu plus...
Mais surtout il attendait une réponse, même si il avait dévié la conversation, elle le connaissait assé pour savoir qu'il n'avait pas lancé cela à la légère...
La bâtisse est belle, mais il vaut mieux ne pas se décider à la légère. Et pour répondre à ta demande, même si ce la me semble évident, je serai heureuse d'être aide de camps, mais surtout ta confidente et ta femme...
Elle se tut, souriant et se concentra sur le lieu où peut être ils bâtiront leur futur bonheur. Mais une chose la tracassait, elle ne dit rien, pourtant elle se sentait mal à l'aise en regardant la maison. Pourquoi, elle n'aurait su le dire. Elle ne dit mot, mais elle était de moins en moins à l'aise. Elle se retourna et pris son bras. L'incitant à reprendre leur marche.
Continuons veux-tu? Il y a encore beaucoup de rue à Paris, et surement d'autres endroits à voir...
Elle reprit la marche, serrant son bras un peu plus...
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Re: LES RUES DE PARIS
par pathard Jeu 27 Sep - 7:38
Bien belle certes, elle l’était cette bâtisse de plus au clame, sa réaction étrange ne voulant point y entrer, la regardant d’un œil lui pressant le bras pour l ‘insister a reprendre leur route.
La chair comme celle des poule qui pouvait voir lui fit comprendre que quelque n’allait pas ici, il ne su quoi n’y pourquoi, mais ne voulant l’embarrasser avec cela il prit la décision de reprendre le pas.
Paris est grand et bien des coin et recoin sont encore à découvrir pour eux.
Juste a noter sa réponse, leur union devait plus tarder, le temps de mettre leurs affaires en ordre.
Et bien oui continuons, il doit bien y avoir ce que nous recherchons, fuse à le trouver et à savoir si cela est ce que nous désirons.
Pour le moment ma mie nous allons voir le roy
Du moins demander une audience, cette affaire tarde trop, et je dois savoir ce qu’il veut et désire.
Bien qu’étant mon seigneur ses silences ainsi que ceux des pairs France me ronge.
Je te dirais que je ne peux continuer comme cela, il me faut leurs aval et pour leur moment rien.
Point de pas d’un messager ou d’annonce faite, pour me conforte dans le choix donné ….
La regardant
Allons ma dame j’ai encore le temps et si cela te dit, une journée pour nous ne serait pas de trop.
Marchons donc vers le palais et profitons de l’instant pour nous dire ce que nous voulons.
Le baisé juste après qu’il ce soit incliné fut déposé sur sa main, le protocole ici dans les rues le voulait, mais il fallait juste regarder ses yeux ce n’est pas de la fièvre qui brille dan le font, mais l’envie forte et animal d’en déposer sur une autre partie de son anatomie.
Il la désirait aussi fort qu’il voulait servir, et même plus.
Ces choix étaient fait un tout un rien, pas de demi mesure et de faux semblants, il ne le voulait pas, ne le pouvait pas.
Aussi droit que la lame qu’il portait sur le coté, mais aussi rigide et dure qu’elle.
Voila ce qu’était l’homme qui marchait au bras de la plus enjouée et ravissante femme du royaume de France …………
perle parmi les fleurs
La chair comme celle des poule qui pouvait voir lui fit comprendre que quelque n’allait pas ici, il ne su quoi n’y pourquoi, mais ne voulant l’embarrasser avec cela il prit la décision de reprendre le pas.
Paris est grand et bien des coin et recoin sont encore à découvrir pour eux.
Juste a noter sa réponse, leur union devait plus tarder, le temps de mettre leurs affaires en ordre.
Et bien oui continuons, il doit bien y avoir ce que nous recherchons, fuse à le trouver et à savoir si cela est ce que nous désirons.
Pour le moment ma mie nous allons voir le roy
Du moins demander une audience, cette affaire tarde trop, et je dois savoir ce qu’il veut et désire.
Bien qu’étant mon seigneur ses silences ainsi que ceux des pairs France me ronge.
Je te dirais que je ne peux continuer comme cela, il me faut leurs aval et pour leur moment rien.
Point de pas d’un messager ou d’annonce faite, pour me conforte dans le choix donné ….
La regardant
Allons ma dame j’ai encore le temps et si cela te dit, une journée pour nous ne serait pas de trop.
Marchons donc vers le palais et profitons de l’instant pour nous dire ce que nous voulons.
Le baisé juste après qu’il ce soit incliné fut déposé sur sa main, le protocole ici dans les rues le voulait, mais il fallait juste regarder ses yeux ce n’est pas de la fièvre qui brille dan le font, mais l’envie forte et animal d’en déposer sur une autre partie de son anatomie.
Il la désirait aussi fort qu’il voulait servir, et même plus.
Ces choix étaient fait un tout un rien, pas de demi mesure et de faux semblants, il ne le voulait pas, ne le pouvait pas.
Aussi droit que la lame qu’il portait sur le coté, mais aussi rigide et dure qu’elle.
Voila ce qu’était l’homme qui marchait au bras de la plus enjouée et ravissante femme du royaume de France …………
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Re: LES RUES DE PARIS
par fineasse Jeu 27 Sep - 22:22
Elle l'écouta tout en marchant, l'éloignant le plus possible de la bâtisse. Ils devaient donc retourner au Palais, pour savoir ce qu'il en était, avait il dit. Alors autant y aller le plus vite possible. De plus elle devait de son coté terminer une affaire, pour pouvoir être totalement libre de l'aider dans sa tache.
Je sais que cela te ronges, et que tu voudrais enfin avoir une réponse, mais le Roy est trés occupé et cette épidémie a engendré beaucoup de tort. La patience va devoir être ton point fort pendant quelques temps je le crains. Mais pendant que tu iras voir le Roy, je m'absenterai un peu si cela ne te déranges pas, je dois hélas m'occuper d'une affaire, que je ne peux plus retarder...
Elle regardait devant elle, perdu dans ses pensées....
Elle lui lâcha le bras et s'arrêta un instant. Reculer pour mieux sauter, pensa t'elle. Mais comment faire autrement. Le soleil se cacha et le vent se leva un peu, ce qui la fit frissonner...
Je dois écrire pour annoncer...
Elle ne fini pas sa phrase et se retint de pleurer devant lui...
Je sais que cela te ronges, et que tu voudrais enfin avoir une réponse, mais le Roy est trés occupé et cette épidémie a engendré beaucoup de tort. La patience va devoir être ton point fort pendant quelques temps je le crains. Mais pendant que tu iras voir le Roy, je m'absenterai un peu si cela ne te déranges pas, je dois hélas m'occuper d'une affaire, que je ne peux plus retarder...
Elle regardait devant elle, perdu dans ses pensées....
Elle lui lâcha le bras et s'arrêta un instant. Reculer pour mieux sauter, pensa t'elle. Mais comment faire autrement. Le soleil se cacha et le vent se leva un peu, ce qui la fit frissonner...
Je dois écrire pour annoncer...
Elle ne fini pas sa phrase et se retint de pleurer devant lui...
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Re: LES RUES DE PARIS
par pathard Ven 28 Sep - 18:29
Quelle était donc cette peur ou plutôt cette crainte qui habitait la femme qu’il aimait ?
La bâtisse fut le déclic, mais il savait de quoi il en retournait, il avait vu gravé a l’angle d’un mur les signes de la royauté et de plus la ou elle était situé il savait qui avait passé du temps ici.
Juste un peut plus loin sur la grande rue la silhouette de la caserne pointait ses tours noires.
Au moment où il allait lui répondre un cavalier surgit poussant plus qu’il ne le fallait sa monture.
Il eu juste le temps de collé sa dame contre lui évitant de justesse une rencontre qui aurait eu pour conséquence de la voir partir pour plus longtemps que prévus .,mais qui eu aussi pour conséquence de la sortir de ses pensées et garda ses yeux au sec.
Il stoppa net !
HOULA TOUT DOUX L’AMI !
Ah tu des saxons ou un gentilhomme jaloux aux fesses pour mener aussi fortement ton animal, où une jeune pucelle attend après toi ?
L’homme ne dit rien, il tendit une missive grommelant juste quelques mots.
Du roi !
Il la prit fut sauter le cachet du cire et entreprit avec frénésie de la lire.
Il sourit
Je vois que mon roi m’accorde donc l’honneur et qu’il demande juste des arrangements que j’avais déjà entrepris.
Il détacha de son Baudrier un sac de cuir contenant plusieurs parchemins roulés.
Il en tendit une à l’homme.
Tu connaît tes ordres va !
L’homme inclina la tête les saluant, tourna bride et reparti comme il était arrivé avec aux fesses comme si il avait tous les démons du monde t’en dessous collé a lui.
Je crois ma dame que j’irais voir le roi mais pour le saluer et t’en qu’a vous............
Il l’embrassa
Tu a le temps que tu veux et il me semble que je sais ce que tu dois écrire, alors si tu a besoin de moi tu sais où je serai.
Il l’embrassa encore sans retenu et que les gens passent et fassent des ho ou même des ha ou tourne la tête il en a cure bientôt d’autres cloche que celle du glas résonneront ici……..
La bâtisse fut le déclic, mais il savait de quoi il en retournait, il avait vu gravé a l’angle d’un mur les signes de la royauté et de plus la ou elle était situé il savait qui avait passé du temps ici.
Juste un peut plus loin sur la grande rue la silhouette de la caserne pointait ses tours noires.
Au moment où il allait lui répondre un cavalier surgit poussant plus qu’il ne le fallait sa monture.
Il eu juste le temps de collé sa dame contre lui évitant de justesse une rencontre qui aurait eu pour conséquence de la voir partir pour plus longtemps que prévus .,mais qui eu aussi pour conséquence de la sortir de ses pensées et garda ses yeux au sec.
Il stoppa net !
HOULA TOUT DOUX L’AMI !
Ah tu des saxons ou un gentilhomme jaloux aux fesses pour mener aussi fortement ton animal, où une jeune pucelle attend après toi ?
L’homme ne dit rien, il tendit une missive grommelant juste quelques mots.
Du roi !
Il la prit fut sauter le cachet du cire et entreprit avec frénésie de la lire.
Il sourit
Je vois que mon roi m’accorde donc l’honneur et qu’il demande juste des arrangements que j’avais déjà entrepris.
Il détacha de son Baudrier un sac de cuir contenant plusieurs parchemins roulés.
Il en tendit une à l’homme.
Tu connaît tes ordres va !
L’homme inclina la tête les saluant, tourna bride et reparti comme il était arrivé avec aux fesses comme si il avait tous les démons du monde t’en dessous collé a lui.
Je crois ma dame que j’irais voir le roi mais pour le saluer et t’en qu’a vous............
Il l’embrassa
Tu a le temps que tu veux et il me semble que je sais ce que tu dois écrire, alors si tu a besoin de moi tu sais où je serai.
Il l’embrassa encore sans retenu et que les gens passent et fassent des ho ou même des ha ou tourne la tête il en a cure bientôt d’autres cloche que celle du glas résonneront ici……..
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Re: LES RUES DE PARIS
par fineasse Ven 28 Sep - 21:55
Encore sous le choc de l'arrivée du cavalier, elle resta muette jusqu'à son départ. Vu la tête du chevalier, il devait s'agir de nouvelles importantes. Elle regarda le cavalier partir, et se tourna vers lui. La missive venait du Roy...
Elle réfléchit un instant et fut surprise par son baiser. Quand il s'éloigna un peu et la regarda, elle lui sourit. Sans un mot, il avait comprit le pourquoi de sa lettre et ne posait aucune question, comme pour la bâtisse. Elle sortit enfin du silence:
Merci d'être là, mais c'est une chose que je dois faire seule.... Juste à trouver le courage de prendre ma plume et de l'écrire...
Elle se tut de nouveau, comment expliquer ce que l'on ressent, quand on perd quelqu'un qui a toujours fait partie de sa vie et qui vous quitte sans avoir put lui dire au revoir. C'est une chose qu'elle ne savait pas faire.
Elle détourna le visage et entreprit de reprendre la marche...
Mais il me semble que tu as du travail, et que je ne vais pas être en reste non plus. Alors si tu le veux bien, allons-y. Je ne veux pas décevoir le Roy.
Elle essaya de paraitre enjouée, et de ne rien faire paraitre. Elle ne voulait surtout pas gâcher son enthousiasme...
Elle réfléchit un instant et fut surprise par son baiser. Quand il s'éloigna un peu et la regarda, elle lui sourit. Sans un mot, il avait comprit le pourquoi de sa lettre et ne posait aucune question, comme pour la bâtisse. Elle sortit enfin du silence:
Merci d'être là, mais c'est une chose que je dois faire seule.... Juste à trouver le courage de prendre ma plume et de l'écrire...
Elle se tut de nouveau, comment expliquer ce que l'on ressent, quand on perd quelqu'un qui a toujours fait partie de sa vie et qui vous quitte sans avoir put lui dire au revoir. C'est une chose qu'elle ne savait pas faire.
Elle détourna le visage et entreprit de reprendre la marche...
Mais il me semble que tu as du travail, et que je ne vais pas être en reste non plus. Alors si tu le veux bien, allons-y. Je ne veux pas décevoir le Roy.
Elle essaya de paraitre enjouée, et de ne rien faire paraitre. Elle ne voulait surtout pas gâcher son enthousiasme...
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Re: LES RUES DE PARIS
par pathard Sam 29 Sep - 12:02
La vie tourbillon des sens et des envies, broie aussi facilement qu’elle enchante, être a coté de ou pour quelqu’un.
Juste à savoir si le choix fait est juste ou le bon.
N’oublions jamais qu’il y a des instants de notre existence ou vivre a deux est bon, noble et sans aucune concession pour l’autre donc.
Il avait fait deux choix, l’un pour le royaume et servir, l’autre pour lui et son futur.
Si il cherchait la puissance de conquérir et de paraître en mettant son corps au service du roy; il avait besoin de retrouver prés de lui une femme qui par sa présence et son envie, lui donnait la force et enlevait ses doutes.
De plus connaissait la belle, les épreuves passées ensemble, la complicité de leurs esprits faisaient qu’il ne voyait pas d’autre voie que celle la.
A cœur vaillant rien d’impossible, a cœur hardant tout est permis.
La vaillance pour son roy, le cœur pour sa dame son corps divisé est pour les deux.
Le jour pour le roi de France, la nuit pour elle, mais il le savait bientôt il devrait payer de sa personne, on ne prêtant pas faire partie des gens du roy sans se donner pour cela.
Il serra son bras, l’écouta avec attention, la marche avait recommencé.
Ils passèrent devant la caserne qui bientôt, il l’espère allait résonner du son des cors et piétinement de pas et sabots.
Preuve que le roy et la noblesse pouvaient compter sur les forces du guet.
Faite moi donc briller cette bague et allons présenter nos respect au roy, de plus ……
Dois je dire mon âme sœur ou mon cœur ?
Tu a une lettre bien pénible a rédiger et je n’ai hélas pas ta verbe pour le faire.
La regardant dans le plus profond de ses yeux.
Je ne possède pas grand-chose….
J’ai bien un trésor, que je ne veux partager avec personne …..
La prunelle des autres sur lui est comme la brûlure d’un tison, mais je ne peux rendre aveugle tout ses gents ………
Eclatant de rire
Qu’il regarde donc et voit mon bonheur ma fierté de paraître a ton bras.
Allons ma douce pressons nous.
Chuchotement
Nos affaire certes, votre lettre…….. mais je n’oublie pas qu’il y a aussi nous ……..
Dois je l’oublier l’honneur de ne pouvoir être votre chevalier servant …. ?
Vous etes pour mes sens la perdition et l’envoûtements et je ne résiste pas a cette musique la.
Point de parole ma perle votre sourire et un battement de cil suffisent à ma réponse.
Il s’arrêta la regarde et avec le plus beau des sourire reprit :
Si vous etes un bastion, je suis le conquérant et monterait a l’assaut de votre donjon, mais rassurez vous, je serais aussi doux que le miel et aussi léger que le parfum d’une fleur.
Lui chuchotant dans l’oreille :
Je sais je n’ais point le panache des grands mais aime la bêtise, modérément……….
Mais j’aime votre tout …..Je vous aime donc ma mie, c’est tout ……….
Juste à savoir si le choix fait est juste ou le bon.
N’oublions jamais qu’il y a des instants de notre existence ou vivre a deux est bon, noble et sans aucune concession pour l’autre donc.
Il avait fait deux choix, l’un pour le royaume et servir, l’autre pour lui et son futur.
Si il cherchait la puissance de conquérir et de paraître en mettant son corps au service du roy; il avait besoin de retrouver prés de lui une femme qui par sa présence et son envie, lui donnait la force et enlevait ses doutes.
De plus connaissait la belle, les épreuves passées ensemble, la complicité de leurs esprits faisaient qu’il ne voyait pas d’autre voie que celle la.
A cœur vaillant rien d’impossible, a cœur hardant tout est permis.
La vaillance pour son roy, le cœur pour sa dame son corps divisé est pour les deux.
Le jour pour le roi de France, la nuit pour elle, mais il le savait bientôt il devrait payer de sa personne, on ne prêtant pas faire partie des gens du roy sans se donner pour cela.
Il serra son bras, l’écouta avec attention, la marche avait recommencé.
Ils passèrent devant la caserne qui bientôt, il l’espère allait résonner du son des cors et piétinement de pas et sabots.
Preuve que le roy et la noblesse pouvaient compter sur les forces du guet.
Faite moi donc briller cette bague et allons présenter nos respect au roy, de plus ……
Dois je dire mon âme sœur ou mon cœur ?
Tu a une lettre bien pénible a rédiger et je n’ai hélas pas ta verbe pour le faire.
La regardant dans le plus profond de ses yeux.
Je ne possède pas grand-chose….
J’ai bien un trésor, que je ne veux partager avec personne …..
La prunelle des autres sur lui est comme la brûlure d’un tison, mais je ne peux rendre aveugle tout ses gents ………
Eclatant de rire
Qu’il regarde donc et voit mon bonheur ma fierté de paraître a ton bras.
Allons ma douce pressons nous.
Chuchotement
Nos affaire certes, votre lettre…….. mais je n’oublie pas qu’il y a aussi nous ……..
Dois je l’oublier l’honneur de ne pouvoir être votre chevalier servant …. ?
Vous etes pour mes sens la perdition et l’envoûtements et je ne résiste pas a cette musique la.
Point de parole ma perle votre sourire et un battement de cil suffisent à ma réponse.
Il s’arrêta la regarde et avec le plus beau des sourire reprit :
Si vous etes un bastion, je suis le conquérant et monterait a l’assaut de votre donjon, mais rassurez vous, je serais aussi doux que le miel et aussi léger que le parfum d’une fleur.
Lui chuchotant dans l’oreille :
Je sais je n’ais point le panache des grands mais aime la bêtise, modérément……….
Mais j’aime votre tout …..Je vous aime donc ma mie, c’est tout ……….
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Re: LES RUES DE PARIS
par fineasse Sam 29 Sep - 15:43
A ses derniers mots, sont cœur fit un bond dans sa poitrine. Il les prononçait pour la première fois et lui redonnait du courage. Il est vrai qu'a deux tout était plus simple, mais pour combien de temps...
Elle savait ce qu'il en coutait d'être au service du Roy, ce n'est pas une chose que l'on fait à la légère. Pourtant elle était tout autant que lui fière de le servir. Mais au fond d'elle cette crainte restait là, celle de le perdre un jour, comme elle avait perdu son frère. Elle n'en dit mot, gardant cela caché au fond d'elle. Elle regarda sa bague et sourit. Le devoir est une chose, mais le bonheur d'être avec lui et de devenir bientôt sa femme était pour elle tout aussi important, si ce n'était plus. Elle se jura d'être à ses cotés quoiqu'il advienne...
Nous ne sommes plus loin du palais et cette lettre... Mais le Roy avant tout...
Elle quitta son regard, et se concentra sur sa marche. Ne jamais montrer ses faiblesses, quoiqu'il puisse arriver, voilà ce qu'on lui avait apprit, toujours rester digne et fière...
Elle vit le palais et s'arrêta, le moment était venu. Elle se tourna vers lui et le regarda droit dans les yeux.
Tu m'as dit ne rien posséder, mais c'est faut. Tu es courageux, honnête, et droit. Tu possèdes en toi plus de noblesse que d'autre personne que je connais. Je suis fière d'être à votre bras messire ou dois-je dire mon futur époux. Il n'y a pas de femme plus heureuse, crois moi... Je serai une aide de camps loyal et fière de servir à tes cotés le Roy, mais surtout une épouse comblée d'avoir un mari tel que toi...
Elle se tut et lui sourit, cela était maintenant dit et ils pouvaient aller voir le Roy...
Elle savait ce qu'il en coutait d'être au service du Roy, ce n'est pas une chose que l'on fait à la légère. Pourtant elle était tout autant que lui fière de le servir. Mais au fond d'elle cette crainte restait là, celle de le perdre un jour, comme elle avait perdu son frère. Elle n'en dit mot, gardant cela caché au fond d'elle. Elle regarda sa bague et sourit. Le devoir est une chose, mais le bonheur d'être avec lui et de devenir bientôt sa femme était pour elle tout aussi important, si ce n'était plus. Elle se jura d'être à ses cotés quoiqu'il advienne...
Nous ne sommes plus loin du palais et cette lettre... Mais le Roy avant tout...
Elle quitta son regard, et se concentra sur sa marche. Ne jamais montrer ses faiblesses, quoiqu'il puisse arriver, voilà ce qu'on lui avait apprit, toujours rester digne et fière...
Elle vit le palais et s'arrêta, le moment était venu. Elle se tourna vers lui et le regarda droit dans les yeux.
Tu m'as dit ne rien posséder, mais c'est faut. Tu es courageux, honnête, et droit. Tu possèdes en toi plus de noblesse que d'autre personne que je connais. Je suis fière d'être à votre bras messire ou dois-je dire mon futur époux. Il n'y a pas de femme plus heureuse, crois moi... Je serai une aide de camps loyal et fière de servir à tes cotés le Roy, mais surtout une épouse comblée d'avoir un mari tel que toi...
Elle se tut et lui sourit, cela était maintenant dit et ils pouvaient aller voir le Roy...
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Re: LES RUES DE PARIS
par pathard Dim 30 Sep - 18:50
Cela avait été dit et cela serait comme ils l’avaient décidés.
Le bras plus ferme le torse plus droit, digne il l’était pas que d’être un homme du roy mais aussi parce qu’elle voulait de lui.
Devant le palais et juste avant de monter vers l’antichambre du roy Il déposa un baisé sur sa
main
Et bien ma dame si je devais voir le roy pour affaire, il y en a une autre qui nous emmène a lui
Tu le sais je n’es point de seigneur alors je suis vassal en droite ligne du roy et comme il se doit je vais demander a mon seigneur et maître le droit de t’épouser ……..
Il lui sourit
Que puis je demander en ce jour de plus ?
L’accord est donné pour la création des forces du guet, la caserne va revivre, je t’ais retrouvé et tu ne m’avais pas oublier ….
Il fixe ses yeux et chuchote
Il ne manque la que la présence de ton frère, je sais il ne rentrera pas ……..
Allons ma dame, portons notre requête au roy, pour notre mission, elle est bien engagée laissons les grand du royaume décider !
En cette heure je veux juste qu’il me donne l’accord de nos épousailles ………..
Le bras plus ferme le torse plus droit, digne il l’était pas que d’être un homme du roy mais aussi parce qu’elle voulait de lui.
Devant le palais et juste avant de monter vers l’antichambre du roy Il déposa un baisé sur sa
main
Et bien ma dame si je devais voir le roy pour affaire, il y en a une autre qui nous emmène a lui
Tu le sais je n’es point de seigneur alors je suis vassal en droite ligne du roy et comme il se doit je vais demander a mon seigneur et maître le droit de t’épouser ……..
Il lui sourit
Que puis je demander en ce jour de plus ?
L’accord est donné pour la création des forces du guet, la caserne va revivre, je t’ais retrouvé et tu ne m’avais pas oublier ….
Il fixe ses yeux et chuchote
Il ne manque la que la présence de ton frère, je sais il ne rentrera pas ……..
Allons ma dame, portons notre requête au roy, pour notre mission, elle est bien engagée laissons les grand du royaume décider !
En cette heure je veux juste qu’il me donne l’accord de nos épousailles ………..
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