[RP]Mort du Comte Taramis de Brassac

par **Taramis de Brassac** Dim 30 Sep - 10:36

HRP : tout le monde peut participer à ce RP, ceux qui veulent sont les bienvenus mais respectez alors le RP siouplait.

Paris, cette capital qu'il chérit tant. Le comte, comme à sa bonne humeur matinale, s'en alla faire un tour dans la grande forest. Il aime beaucoup la nature, voir comment un arbre grandit et s'épanouit parmi tant d'autre. Voir les feuilles pousser et tomber à l'automne, pour lui il n'y avait point plus grande merveille au monde que la nature. Oh oui, les femmes peut-être pouvaient égalées à la nature dans son coeur, mais fallait-il encore que celles-ci soient respectables. A son habitude, le Comte se promène seul, sans gardes et sans armes, un tort qui se jour-là allait faire surface. Lorsqu'il entra dans le bois, un tronc d'arbre scié et atteignant la hauteur de ses genoux était recouvert de tâches rouges et qui n'étaient point là depuis belles lurettes mais depuis un petit moment. Quand il s'en approcha l'odeur du sang lui rappela les guerres, cet odeur qui empeste et qui lorsqu'elle remonte dans les narines donne le tournis. Un mal de tête lui prend et tout à coup des images lui reviennent, des images de tous les hommes qu'il avait vu trépasser. Lorsque ses images l'avaient atteint, il su que l'heure arrivait pour lui de rejoindre sa femme mais comment ? C'était la question de tous les gens ; comment va-t-on mourir ?
A cette question, il su répondre lorsqu'il vit trois hommes non bien vêtus avec les armes en main et la bave à la bouche de voir une aussi belle victime à leur portée. L'un d'eux à l'air farouche s'adressa au comte.

Eh bien, on dirait que Monsieur le Comte est dans un bien mauvais état, non ? Quelques bourses d'or pourraient arranger ça...le sait-il ?

Le comte n'avait pas envie de répondre, il marqua un long temps de pause, peut-être trois minutes, avant de répondre.

Je préfère mourir sans déshonneur que vivre avec.

Le brigand à l'air farouche sourit, quel courage devait-il penser. Il regarda le comte, puis ensuite fusilla du regard l'un de ses hommes. Quand l'homme comprit, il s'avança pour prendre le Comte par les cheveux, sans oublier que le comte essaya de se débattre mais après maintes essais il se laissa faire car pour lui il n'avait plus rien à prouver. L'homme mit la tête du comte par terre et soutenu celle-ci par son pied. L'homme farouche revint en lui proposant "une dernière chance".

Toujours aussi sûr, Monsieur le Comte ?

L'homme s'accroupit et se mit à la hauteur de la tête du comte, le comte s'éclata de rire et cela mit l'homme farouche en colère qui d'ailleurs donna un ordre à ses deux hommes.

Bien, tuez-le et dépouillez-le, ensuite, discrètement, ramenez le corps aux portes de Paris et revenez à l'endroit prévu !

L'homme farouche s'effaça dans le brouillard tandis que les deux hommes s'exécutèrent. Une fois terminé ce qu'ils avaient à faire, le Comte d'Evreux et Pair de France, Taramis de Brassac n'était plus, son corps avait été ramené comme l'était ordonné aux portes de Paris. Les hommes s'étaient enfuis et le corps du Comte resta à découvert jusqu'à ce que quelqu'un vienne le trouver.